Ouverture hier de la 7e édition de Pollutec : 350 exposants et perspectives d’échanges inédites
Le 7e salon international des équipements, des technologies et des services de l’eau (Pollutec) s’est ouvert hier et se poursuivra jusqu’au 28 de ce mois au niveau de l’esplanade de l’hôtel Hilton.
L’édition 2011 a été inaugurée par le ministre des Ressources en eau, M. Abdelmalek Sellal, en présence de la ministre déléguée chargée de la Recherche scientifique, Mme Souad Bendjaballah.
Enregistrant une nouvelle croissance de 10% de ses surfaces d’exposition-70% occupées par des entreprises algériennes et 30% par des opérateurs étrangers-cette manifestation est dédiée, selon ses organisateurs, aux professionnels de l’eau. Selon la commissaire général des salons Pollutec,
Mme Sylvie Fourn, ce salon, qui s’étend sur une superficie de 10.000 m2, accueille près de 350 exposants venus des quatre continents et représentant 16 nationalités. La Belgique et les Pays Bas y participent pour la première fois.
Des visiteurs professionnels et qualifiés seront au rendez-vous, notamment ceux en quête de techniques et de solution adaptées à l’Algérie dans tous les secteurs de l’eau, équipements et prestations de services dans les domaines de l’eau, les eaux usées, la distribution de l’eau, le traitement des pollutions industrielles, l’analyse, mesure, contrôle et irrigation.
Pour les professionnels en la matière, cette édition ouvre des perspectives d’échanges inédites et permettra aux opérateurs institutionnels, entreprises privées, experts scientifiques et internationaux de s’informer et se former sur les sujets d’actualité, les innovations technologiques, la réglementation ainsi que les expériences étrangères.
Au terme d’une tournée au niveau des stands ouverts, M. Sellal a mis l’accent sur le nombre important des participants venus exposer leur savoir-faire et leurs technologies et proposer des services et solutions.
«Cela démontre, a estimé le ministre, la croissance et la diversification des besoins de l’Algérie en matière des services de l’eau ». Il a, à l’occasion, souligné l’importance de ce genre de manifestation devant profiter davantage aux jeunes, surtout ceux intéressés par les services et les métiers de l’eau.
Mme Bendjaballah a appelé les organisateurs du salon à organiser, lors des prochaines éditions, des stands dédiés à la recherche et au développement scientifiques.
Revenant sur politique de l’eau en Algérie, le ministre a affirmé que la bataille de l’eau est gagnée. Il est temps donc d’œuvrer pour la construction de réserves. Trois grandes zones de stockage seront dégagées : le barrage de Béni Haroun, d’une capacité de 800 millions m3, pour la région Est, Taksebt, Asserdoune, pour le Centre et le barrage de Oued Gargara pour l’Oranie. Il a annoncé, à l’occasion, la construction dans la wilaya de Tébessa du barrage de Ouldjet Bellagh, destiné à des fins industrielles et la transformation du phosphate qui nécessite énormément d’eau.
Enregistrant une nouvelle croissance de 10% de ses surfaces d’exposition-70% occupées par des entreprises algériennes et 30% par des opérateurs étrangers-cette manifestation est dédiée, selon ses organisateurs, aux professionnels de l’eau. Selon la commissaire général des salons Pollutec,
Mme Sylvie Fourn, ce salon, qui s’étend sur une superficie de 10.000 m2, accueille près de 350 exposants venus des quatre continents et représentant 16 nationalités. La Belgique et les Pays Bas y participent pour la première fois.
Des visiteurs professionnels et qualifiés seront au rendez-vous, notamment ceux en quête de techniques et de solution adaptées à l’Algérie dans tous les secteurs de l’eau, équipements et prestations de services dans les domaines de l’eau, les eaux usées, la distribution de l’eau, le traitement des pollutions industrielles, l’analyse, mesure, contrôle et irrigation.
Pour les professionnels en la matière, cette édition ouvre des perspectives d’échanges inédites et permettra aux opérateurs institutionnels, entreprises privées, experts scientifiques et internationaux de s’informer et se former sur les sujets d’actualité, les innovations technologiques, la réglementation ainsi que les expériences étrangères.
Au terme d’une tournée au niveau des stands ouverts, M. Sellal a mis l’accent sur le nombre important des participants venus exposer leur savoir-faire et leurs technologies et proposer des services et solutions.
«Cela démontre, a estimé le ministre, la croissance et la diversification des besoins de l’Algérie en matière des services de l’eau ». Il a, à l’occasion, souligné l’importance de ce genre de manifestation devant profiter davantage aux jeunes, surtout ceux intéressés par les services et les métiers de l’eau.
Mme Bendjaballah a appelé les organisateurs du salon à organiser, lors des prochaines éditions, des stands dédiés à la recherche et au développement scientifiques.
Revenant sur politique de l’eau en Algérie, le ministre a affirmé que la bataille de l’eau est gagnée. Il est temps donc d’œuvrer pour la construction de réserves. Trois grandes zones de stockage seront dégagées : le barrage de Béni Haroun, d’une capacité de 800 millions m3, pour la région Est, Taksebt, Asserdoune, pour le Centre et le barrage de Oued Gargara pour l’Oranie. Il a annoncé, à l’occasion, la construction dans la wilaya de Tébessa du barrage de Ouldjet Bellagh, destiné à des fins industrielles et la transformation du phosphate qui nécessite énormément d’eau.
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