Maison de l'Algérie-Pont d'intelligence

Maison de l'Algérie-Pont d'intelligence
Club "Génération Entrepreneurs" en Algérie

dimanche 12 octobre 2014

Société des foires et expositions : 20 Salons économiques programmés pour le 1er semestre 2015


Le palais des expositions des Pins Maritimes abritera le premier semestre de l'année prochaine une vingtaine de manifestations économiques nationales et internationales, dont des Salons spécialisés selon le programme tracé par la Société algérienne des foires et exportations (Safex).
 En effet, le premier semestre de l'année 2015 verra l’organisation de la 9e édition du Salon international de la pharmacie et de la parapharmacie et ce du 3 au 5 février, le Salon international du médicament générique du 21au 24 février et le 11e Salon international des équipements et services de l'eau du 16 au 19 février, précise la Safex sur son site internet. Selon la même source, du 3 au 8 mars prochain, il est prévu un événement occasionnel et témoignera ainsi de l’organisation d’une manifestation dédiée à la beauté et le bien-être de la femme "Salon EVE 2015".  Initiée par World trade center Algeria (WCTA), cette rencontre annuelle regroupera des exposants nationaux et étrangers établis en Algérie qui feront connaître leurs produits et services destinés à la gent féminine. Le même lieu accueillera aussi du 1er au 4 mars le Salon international des mines, du 2 au 5 mars le Salon "Equipe auto", le Salon international des cycles et motocycles se tiendra du 18 au 28 mars. Quant au 5e Salon national de l'emploi (Salem 2015), il est prévu  du 5 au 12 avril prochain. Au mois d’avril, la Safex accueillera du 13 au 16 avril, un Salon dédié à la sous-traitance. La 13e édition du Salon international de l'agroalimentaire "Djazagro" du 20 au 23 avril.
Par ailleurs, deux Salons seront organisés au mois de mai prochain. Il s’agit du Salon international du bâtiment et des matériaux de construction "Batimatec" qui se tiendra du 3 au 7, une fois ce dernier achevé, le Salon international de l'informatique sera programmé du 7 au 11 du même mois. Comme à l’accoutumée, le Salon international du tourisme et voyage (SITEV 2015) organisé par l'Office national du tourisme (ONT) est prévu du 14 au 17 mai 2015.
Cette manifestation constitue non seulement un espace de rencontres des professionnels nationaux et étrangers mais aussi une occasion pour le grand public de découvrir les destinations et offres touristiques de l'Algérie et d'autres régions du monde, selon les organisateurs.
 Cet évènement vise notamment à vulgariser davantage les dispositions  de création de micro-entreprises, à mettre en relation les acteurs et partenaires des agences de création d'emploi et à encourager la création de projets d'activité.
EL MOUDJAHID

LES ENTREPRISES FRANÇAISES PLUS ENCLINES À L'EXPORT : Le made in France envahit l'Algérie

L'Algérie, un marché stratégique pour la France
 
Paris ne devrait donc pas négliger l'alternative algérienne surtout que tous les efforts des autorités françaises tendent à extirper l'Hexagone du goulot étrangleur de la crise.
Notre pays est sans nul doute le deuxième marché pour la France. Du coup, les entreprises françaises escomptent une hausse appréciable de leurs exportations vers l'Algérie et ce, à l'orée de l'année 2015. Pour peu que ces entreprises exploitent de la meilleure des façons les chances d'investissements qui leur sont offertes, cette hausse pourrait avoisiner les 30 millions d'euros, rien que pour cette période. Paris ne devrait donc pas négliger l'alternative algérienne surtout que tous les efforts des autorités françaises tendent à extirper l'Hexagone du goulot étrangleur de la crise. En fait, l'Algérie, s'avère être ces dernières années, un marché stratégique pour la France, laquelle le considère tout aussi égal en importance que celui de la Chine, du Brésil ou de l'Inde.
Les prévisions d'Euler Hermes, filiale du groupe Allianz qui protège et soutient le développement des entreprises en France et à l'international depuis plus de 100 ans, laissent paraître le fait que les entreprises françaises sont de plus en plus enclines à exporter vers l'Algérie, avec à la clé la possibilité d'engranger un chiffre de 30 millions d'euros. Selon le même organisme, ces mêmes entreprises ont tout intérêt à prospecter et investir le marché algérien.
Ainsi, notre pays figure en bonne place sur la liste des pays cibles pour l'export français. «Alors que l'Allemagne, la Chine et les Etats-Unis caracolaient en tête des pays visés lors de nos deux précédentes éditions, les entreprises interrogées cette année leur préfèreront en 2015: le Brésil, l'Algérie, l'Inde, la Chine, le Royaume-Uni et le Maroc. Le grand export attire désormais de plus en plus d'entreprises souhaitant profiter des besoins grandissants en infrastructures et en équipements industriels et d'un consommateur chaque jour plus gourmand en marques françaises,» explique Ludovic Subran, chef économiste chez Euler Hermès. L'enjeu consistant pour les PME exportatrices françaises de se saisir des 30 milliards d'euros additionnels; soit le double de ce qui a été encaissé en 2014 c'est-à-dire 15 milliards d'euros. Ceci dit, en 2015, la demande internationale adressée à la France augmenterait de 30 milliards d'euros, soit un montant deux fois supérieur à celui de 2014.
Un tiers du montant tiendrait aux effets de la baisse de l'euro, que les économistes d'Euler Hermes jugent pérenne. Mais c'est surtout l'amélioration de l'environnement économique chez les principaux partenaires commerciaux de la France qui jouerait et dans une moindre mesure la hausse de la compétitivité des entreprises françaises, grâce au Crédit d'impôt compétitivité emploi et au Pacte de responsabilité. Les secteurs qui profiteraient le plus de ce surcroît de demande extérieure seraient les équipements industriels, la chimie et l'agroalimentaire. Les économistes d'Euler Hermes anticipent que le commerce extérieur devrait contribuer pour 0,2% à la croissance française en 2015, qu'ils estiment à 0,8% après 0,4% en 2014 du fait d'une consommation et d'un investissement qui resteront timides.
La destination Algérie est désormais évidente pour les entreprises françaises, qui attendent des autorités algériennes l'amélioration de l'environnement économique et du climat d'affaires. Le gouvernement Sellal s'attelle justement et ce depuis quelque temps déjà, à rendre le marché algérien attractif et à l'affranchir du diktat des hydrocarbures et de la rente. Euler Hermes souligne toutefois que l'appareil export français reste fragile avec un nombre d'exportateurs qui a légèrement augmenté l'an passé à 120.700, après 119.300 en 2012, mais qui reste loin du début des années 2000 (près de 132.000) et souffre de la comparaison avec l'Allemagne (250.000) ou l'Italie (200.000). Globalement, le flux des exportations françaises vers l'Algérie devrait augmenter substantiellement au cours de l'année 2015. L'étude de l'Eurl Hermes l'affirme. régionales de cet organisme ont interrogé 800 entreprises exportatrices françaises à mi-année, majoritairement des PME et issues du tissu industriel, pour connaître leurs stratégies de développement et leur fonctionnement à l'international. Dans un contexte de repli de l'investissement et de consommation atone, l'export reste un moteur important de la croissance de l'économie française.
L'expression

Plus d'une soixantaine d'exposants attendus au Carrefour des agriculteurs à Blida

Plus d'une soixantaine d'exposants attendus au Carrefour des agriculteurs à Blida

Plus d'une soixantaine d'exposants participeront à la manifestation "Carrefour des agriculteurs" qui se tiendra du 13 au 15 octobre à Blida, a-t-on appris jeudi des organisateurs de ce salon.
Organisée par l'agence de communication HM, en coordination avec la direction des services agricoles (DSA) et de la Chambre d'agriculture de la wilaya, la deuxième édition de cette manifestation se veut une opportunité aux agriculteurs pour découvrir les nouvelles techniques permettant d'augmenter la productivité et les nouvelles machines à même de compenser le manque de main d'oeuvre dans ce secteur, a expliqué, à l'APS, M.Omar Mahi, initiateur de ce salon.
Outre l'exposition de matériel, produits et intrants agricoles, ce salon connaitra l'organisation de conférences aux différents thèmes relatifs au développement du secteur agricole et aux meilleurs moyens d'assurer une plus grande performance dans le secteur.
Cette manifestation, qu'abritera la cour de la Coopérative agricole des services et approvisionnements (CASAP) sur une superficie de plus d'un hectare, constitue également un espace de rencontre et de concertation entre les professionnels du secteur , a encore indiqué le même responsable.
De son côté, le secrétaire général de la chambre d'agriculture de la wilaya, a souligné "l'importance capitale" d'une telle initiative "qui permet aux agriculteurs de s'imprégner des nouveautés en matière de matériel agricole et technique d'exploitation et d'améliorer ainsi leurs capacités de production.
APS

110 exposants attendus au prochain "Oran Expo"

110 exposants attendus au prochain "Oran Expo" (organisateurs)

Quelque 110 exposants activant dans le domaine du BTPH prendront part à la  5ème édition du salon international de la construction et de la gestion urbaine "Oran Expo", prévue du 12 au 15 octobre courant au Centre de Conventions d’Oran Mohamed Ben Ahmed.
Cette manifestation co-organisée par la société ½ GMR Events Algeria et "Global Events Algeria" sera marquée par une importante participation étrangère avec 24 entreprises françaises, 14 espagnoles, 07 portugaises et une égyptienne.
Pour cette édition, "Oran expo" rassemblera trois salons sectoriels, à savoir Elect expo, Clim expo et Sécurbat.
Le responsable de "Global Events Algeria", Ferrah Ali, a expliqué que "l’élargissement de ce salon a pour objectif d’ouvrir de nouveaux champs de réflexion et de susciter de nouvelles pratiques dans le secteur de la construction,  en faisant connaître ses acteurs les plus dynamiques, en rendant visible des expériences réussies et en explorant de nouvelles perspectives".
"Plus qu’un inventaire physique des procédés et matériels, le salon se veut d’abord une démonstration de solutions efficaces qui ont fait leurs preuves dans le monde et qui sont, soit déjà introduites en Algérie mais encore méconnues, soit en attente d’adaptations au contexte professionnel national", a encore souligné le même responsable.
Un riche programme scientifique, technique et promotionnel est prévu, en marge de l’exposition. Des conférences et plusieurs ateliers d’échange, ainsi qu’un espace "B to B", ouvert aux architectes, décorateurs, constructeurs, fournisseurs de solutions et chercheurs de partenariat sont prévus pendant le salon.
Lors de la précédente édition, organisée en 2013, une participation de plus de 104 exposants a été enregistrée. Les stands ont été visités par plus de 3.200 visiteurs professionnels appartenant aux secteurs ciblés par le salon, rappelle-t-on.
APS

jeudi 2 octobre 2014

Le gouvernement veut fixer une liste de filières industrielles stratégiques

industrie
La nouvelle politique d’investissement du gouvernement commence à se préciser. Dans l’article 74 du projet de loi de finances 2015, dont nous détenons une copie, est fixée une liste de 13 filières stratégiques à encourager, via des avantages fiscaux. Il s’agit de la sidérurgie et métallurgie, les liants hydrauliques, les industries électriques et électroménagers, la chimie industrielle, la mécanique et l’automobile, la pharmacie, l’aéronautique, la construction et la réparation navales, les technologies avancées, l’industrie agroalimentaire, les textiles et habillements, cuirs et produits dérivés, les bois et industrie du meuble.
Cet article précise que les activités liées à ces filières sont définies par le Conseil national de l’investissement (CNI). Et pour encourager l’investissement dans ces filières, le gouvernement offre l’exonération temporaire, pour une période de cinq ans, de l’Impôt sur le bénéfice des sociétés (IBS) ou de l’Impôt sur le revenu global (IRG), de la Taxe sur l’activité professionnelle (TAP) et une bonification de 3% du taux d’intérêt applicable aux prêts bancaires.
TSA

mercredi 1 octobre 2014

À l’approche d’une importante mission économique canadienne : Lamamra en opération de charme au Canada

Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a rencontré, hier, des hommes d’affaires canadiens auxquels il a détaillé le nouveau plan quinquennal d’investissements publics (2015-2019) qui sera présenté au Parlement bientôt. Lors d’un petit-déjeuner d’affaires, organisé par Manufacturiers et exportateurs du Québec (MEQ) en collaboration avec l’Alliance d’affaires Canada-Algérie et l’ambassade d’Algérie à Ottawa, le chef de la diplomatie algérienne a exhorté les patrons canadiens à venir investir en Algérie, maintenant que le climat des affaires s’y prête. Pour étayer son propos, M. Lamamra a cité le lancement bientôt d’un mégaprojet de turbines à gaz à Batna par le géant américain General Electric ainsi que la sortie pour début novembre de la première voiture Renault en Algérie. “Les partenariats se développent et engrangent des progrès économiques indéniables”. Pour convaincre, il dresse un sommaire tableau de la situation macroéconomique du pays : une dette réduite à sa plus simple expression avec 3,4 milliards de dollars à fin 2013, et ce, grâce à une politique volontariste de désendettement, un taux de chômage réduit à 9,8%, un taux d’inflation ramené en une année de 10% à 3,3%, une politique budgétaire prudente, un confortable matelas de réserves de change de 194 milliards de dollars, etc. “Le gouvernement algérien va soumettre au Parlement un plan quinquennal 2015-2019 doté d’un budget de 262 milliards de dollars d’investissements publics. Il vise la poursuite des projets de développements des plans antérieurs. Des plans qui ont permis de consolider les infrastructures de base”, a déclaré le ministre des AE. Selon ce dernier, un vaste programme de bretelles sont en cours de réalisation ainsi que des projets de logements. Présent à la rencontre, Éric Charron, de l’entreprise nord-américaine EXP, confirme que sa boîte a raflé le projet de la pénétrante reliant la ville de Ténès, dans la wilaya de Chlef, à l’autoroute Est-Ouest. “Les opportunités d’affaires sont nombreuses et leur financement assuré ainsi que leur rentabilité”, a-t-il assuré, ajoutant que des facilités sont accordées aux investisseurs étrangers. “Comme vous le voyez, le pays est devenu attractif”, s’est encore félicité l’orateur, souhaitant au passage une diversification des investissements attendus des opérateurs économiques étrangers. Pour convaincre, il rappelle à son auditoire la réforme du code des investissements ainsi que la réforme bancaire qui est en cours. “Cette réforme va permettre aux banques d’augmenter leur capital. Beaucoup de banques étrangères ont ouvert des succursales en Alger, mais pas les banques canadiennes”, a déploré, par ailleurs, Lamamra. Au sujet de la coopération économique, le ministre des AE a rappelé que le volume des échanges commerciaux a atteint un pic de 8 milliards de dollars en 2008. Échanges dominés par l’exportation des hydrocarbures et l’importation des produits céréaliers. Ramtane Lamamra a salué la mission économique canadienne qui sera bientôt en Algérie. Ce projet, qui se veut prometteur, a le soutien de Canadian Arabic Consul ainsi que de Canada of Arab Commerce. La mission sera dirigée par le ministre canadien du Développement international et de la Francophonie, Christian Paradis. Le ministre des AE a terminé sa visite de trois jours au Canada par une rencontre avec des représentants de la communauté nationale organisée à la résidence du consul général d’Algérie à Montréal.
Liberté

COMMERCE EXTÉRIEUR : Ce que les importateurs doivent savoir

L'OMC prévoit les licences d'importation comme condition préalable à l'importation de marchandises
 
Par ces amendements, l'Algérie veut se mettre en conformité avec les règles de l'OMC.
Le nouveau système de licence d'importation prévu par le projet d'amendement de la loi relative aux opérations de commerce extérieur de marchandises n'est pas de nature restrictive, mais vise essentiellement à veiller sur la santé humaine et animale ainsi que la sécurité des produits conformément aux règles de l'OMC, ont indiqué des responsables du ministère du Commerce.
«A la différence du régime restrictif de licences appliqué auparavant en matière d'importations, ces prochaines licences sont définies comme des procédures administratives dans les règles de l'OMC et visent à assurer une meilleure qualité et sécurité des produits afin de préserver la santé humaine, animale et végétale», explique le directeur général du commerce extérieur auprès du ministère, Chérif Zaâf.
En effet, l'OMC prévoit les licences d'importation qui sont des procédures administratives exigeant comme condition préalable à l'importation de marchandises, la présentation à l'organe administratif compétent d'une demande qui est distincte des documents requis aux fins douanières. Pour se mettre en conformité avec les règles exigées par l'OMC, le ministère du Commerce a, donc, élaboré un projet d'amendement de l'ordonnance 03-04 du 19 juillet 2003 relatif aux règles générales applicables aux opérations d'importation et d'exportation de marchandises, a ainsi fait savoir M.Zaâf. Ce projet de texte, a-t-il ajouté, a été soumis récemment au niveau du gouvernement pour adoption. «Les amendements vont nous permettre de mettre à niveau notre législation (par rapport aux règles de l'OMC) car nos experts ont constaté des disparités dans les évaluations des licences actuelles», a-t-il expliqué. Actuellement, ce genre de licences existe, mais sous d'autres appellations telles que l'autorisation sanitaire ou phytosanitaire ou bien l'homologation. En fait, le nouveau mode de délivrance de licences, prévu par ce projet de loi, vise à simplifier et à rendre transparentes les procédures en vigueur d'octroi de licences d'importation pour s'assurer que l'attribution de ces documents «soit appliquée et administrée de manière juste et équitable», selon le même responsable. D'ailleurs, l'OMC précise clairement que cela vise également à optimiser le processus utilisé dans l'octroi des licences d'importation afin que celui-ci n'entraîne pas une restriction ou une distorsion des importations. En conséquence, note le même responsable, la différence entre la nature du système des licences d'importation accordées dans les années 1970 et 1980 et celle prévue par le projet de loi est «claire».
En effet, les licences attribuées au cours de ces années-là se traduisaient par un document établi selon un formulaire arrêté à l'avance par le gouvernement en coordination, soit avec l'entreprise qui avait le monopole d'importation, soit avec la Chambre de commerce, rappelle M.Zaâf qui relève qu'il s'agissait d'un document qui représentait carrément une autorisation pour importer. «L'Etat gérait, à ce moment-là, les ressources budgétaires du pays en fonction des besoins d'approvisionnement du marché national», ajoute-t-il. Pour sa part, le directeur des relations avec l'OMC au ministère du Commerce, M. El Hadi Belarima, relève que la différence entre cet ancien régime de licences et ce qui est prévu par le projet de loi se situe au niveau de l'objectif recherché. Si l'ancien régime avait pour but la répartition d'un montant de devises sur des importateurs, le projet de texte vise «à veiller sur la loyauté des transactions commerciales, et ce, que ce soit entre la communauté des commerçants eux-mêmes lorsqu'il font leurs échanges ou entre le détaillant et le consommateur», relève-t-il. Dans ce sens, il explicite encore que le contrôle fait par l'administration ne concerne que les aspects de la qualité et de la conformité et non pas les aspects commerciaux.
L'EXPRESSION