L’agroalimentaire et les services en force
Quelle place pour le partenariat gagnant-gagnant ?
Samira Imadalou
Au fil des ans et avec la multiplication des salons spécialisés, la Foire internationale d’Alger (FIA) a subi beaucoup de changements que ce soit en termes de participation ou en termes de changements. Mais, cet évènement considéré souvent comme une attraction pour de nombreux visiteurs a gardé son caractère de rendez-vous annuel et continue à refléter l’image de l’économie nationale avec une participation de plus en plus importante de ce côté.Pour cette 44ème édition, sur les 470 participants nationaux, 80% représentent le secteur de la PME alors que les 20% restants sont des entreprises activant en partenariat avec des sociétés étrangères.Comme c’est le cas depuis quelques années, la part du lion en terme de participation par segment d’activité, revient aux services, à l’électronique et à l’agroalimentaire. Ces secteurs occupent le plus important espace dans cette exposition.En terme de superficie, les participants nationaux sont répartis sur 35 000 mètres carrés contre 14 439 mètres carrés pour les étrangers (28 pays et 33 entreprises à titre individuel) qui, selon la SAFEX, poursuivent leurs efforts d’adaptation aux besoins de l’économie nationale.Et ce, en rompant avec la
tradition commerciale qui consiste à proposer des produits destinés à la revente en l’Etat. Pour cette édition de la FIA, les visiteurs vont retrouver sur les stands étrangers beaucoup plus d’équipements, de machines, de technologies et de process.Les entreprises étrangères ont compris que le programme quinquennal 2010-2014 nécessite la mobilisation de moyens importants. D’où la diversification de leur offre en matière d’équipements et de machines que l’Algérie importe annuellement à coup de milliards de dinars.
Les besoins de l’Algérie ne se limitent pas à ce créneau mais ils se manifestent aussi dans le savoir-faire et le transfert des technologies. À ce niveau, les objectifs tracés dans le cadre des projets de partenariat n’ont pas été atteints. Les grandes entreprises publiques à l’image de Sonatrach continuent ainsi à sous traiter avec des firmes étrangères notamment pour l’approvisionnement en pièces de rechange. Avec les nouvelles orientations économiques, le groupe s’engage à travailler beaucoup plus avec les entreprises nationales, lesquelles ont besoin d’améliorer leurs connaissances en nouvelles techniques de production et de maintenance. La 44ème FIA est une occasion à ne pas rater pour conclure des accords dans ce cadre. Pourvu que les partenaires étrangers jouent le jeu du partenariat gagnant-gagnant. Justement, quelle place pour ce partenariat dans cette FIA ?
Au fil des ans et avec la multiplication des salons spécialisés, la Foire internationale d’Alger (FIA) a subi beaucoup de changements que ce soit en termes de participation ou en termes de changements. Mais, cet évènement considéré souvent comme une attraction pour de nombreux visiteurs a gardé son caractère de rendez-vous annuel et continue à refléter l’image de l’économie nationale avec une participation de plus en plus importante de ce côté.Pour cette 44ème édition, sur les 470 participants nationaux, 80% représentent le secteur de la PME alors que les 20% restants sont des entreprises activant en partenariat avec des sociétés étrangères.Comme c’est le cas depuis quelques années, la part du lion en terme de participation par segment d’activité, revient aux services, à l’électronique et à l’agroalimentaire. Ces secteurs occupent le plus important espace dans cette exposition.En terme de superficie, les participants nationaux sont répartis sur 35 000 mètres carrés contre 14 439 mètres carrés pour les étrangers (28 pays et 33 entreprises à titre individuel) qui, selon la SAFEX, poursuivent leurs efforts d’adaptation aux besoins de l’économie nationale.Et ce, en rompant avec la
tradition commerciale qui consiste à proposer des produits destinés à la revente en l’Etat. Pour cette édition de la FIA, les visiteurs vont retrouver sur les stands étrangers beaucoup plus d’équipements, de machines, de technologies et de process.Les entreprises étrangères ont compris que le programme quinquennal 2010-2014 nécessite la mobilisation de moyens importants. D’où la diversification de leur offre en matière d’équipements et de machines que l’Algérie importe annuellement à coup de milliards de dinars.
Les besoins de l’Algérie ne se limitent pas à ce créneau mais ils se manifestent aussi dans le savoir-faire et le transfert des technologies. À ce niveau, les objectifs tracés dans le cadre des projets de partenariat n’ont pas été atteints. Les grandes entreprises publiques à l’image de Sonatrach continuent ainsi à sous traiter avec des firmes étrangères notamment pour l’approvisionnement en pièces de rechange. Avec les nouvelles orientations économiques, le groupe s’engage à travailler beaucoup plus avec les entreprises nationales, lesquelles ont besoin d’améliorer leurs connaissances en nouvelles techniques de production et de maintenance. La 44ème FIA est une occasion à ne pas rater pour conclure des accords dans ce cadre. Pourvu que les partenaires étrangers jouent le jeu du partenariat gagnant-gagnant. Justement, quelle place pour ce partenariat dans cette FIA ?
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