Regroupant des industriels intervenant dans notamment les secteurs des équipements industriels, la sous-traitance et services, la maintenance l’éco-industrie, la sécurité et divers autres domaines liés directement aux programmes d’investissement et de développement économique. L’événement organisé conjointement par la société BATIMATEC EXPO et la Chambre algérienne de commerce et d’industrie, en partenariat avec la Société des foires et exportations (Safex) est placé sous le haut patronage du ministre de l’Industrie et de la Petite et Moyenne Entreprise et de la Promotion de l’investissement. Cette manifestation qui a pour objectif premier de contribuer à une meilleure connaissance de l’industrie nationale et de son effort de développement, constitue une opportunité pour les professionnels et industriels nationaux pour faire la promotion des produits et des services de leur entreprise et développer de nouvelles relations d’affaires.
La nouveauté du Salon qui coïncide avec le cinquantenaire de l’indépendance du pays réside dans le fait que les exposants bénéficieront d’un tarif exceptionnel, pour la circonstance, ainsi que d’une page publicitaire qui sera insérée gratuitement dans le catalogue des exposants, d’un accès internet gratuit par Wifi durant toute la durée du Salon et d’une inscription gratuite aux rencontres B2B qui seront organisées en partenariat avec la CACI. Aussi, le Salon prévoit des journées techniques les 9 et 10 octobre dans l’objectif de baliser le terrain à d’éventuels contacts et relations d’affaires entre industriels algériens et étrangers dans le but de stimuler des partenariats et opportunités de coopération dans l’activité industrielle qui recèle de potentialités importantes en la matière, notamment au sein des PME/PMI, véritable gisement pour l’emploi. A ce propos, il y a lieu de noter que l’ANDPME animera le 9 octobre, en marge du Salon, la première journée technique consacrée à la problématique de la compétitivité des PME. L’ANIREF prendra le relais le 10 octobre pour exposer le programme national de développement de nouvelles zones industrielles. Le Salon qui intervient au moment où le plan d’action du gouvernement est adopté par la chambre basse du Parlement constituera, ainsi, un espace privilégié pour développer les échanges d’expériences, contribuer à une meilleure connaissance du potentiel industriel national, s’enquérir des innovations technologiques, faire une évaluation objective des efforts de développement national et fructifier les relations d’affaires entre partenaires algériens et étrangers. Il y a lieu de souligner, pour la circonstance, que les axes majeurs du programme d’action du secteur portent essentiellement sur le développement de l'investissement productif national et étranger par la consolidation du dispositif national de facilitation et d'incitation à l'investissement productif et créateur d'emplois, l'ajustement du dispositif d'incitation aux besoins identifiés de l'économie nationale pour accroître son efficacité et, aussi, par l'amélioration de l'environnement de l'investissement pour réduire les coûts indus supportés par l'investisseur.
Par ailleurs, il s’inscrit dans l’objectif de renforcement de la contribution du secteur public à la croissance économique et au développement du pays à travers la nouvelle configuration du secteur public marchand avec la mise en place de puissants groupes industriels compétitifs dans les secteurs présentant des avantages comparatifs et la mise en œuvre d'une politique de partenariat visant à assurer une contribution effective des opérations d'ouverture de capital au développement de l'économie nationale. Il s’agit également de renforcement du potentiel industriel national par l'incitation des entreprises, notamment du secteur privé, à participer plus largement au développement du pays, à travers la mise en place de politiques publiques d'appui à la mise à niveau et de modernisation de ces entreprises, notamment sur les plans technologique, managérial et de la formation des ressources humaines. Le programme initié par les pouvoirs publics d’un montant de 386 milliards de dinars prévoit la mise à niveau de 20 000 PME d’ici 2014.
La stratégie du gouvernement pour le secteur prévoit aussi la création de 200 000 PME nouvelles, soit 30 PME pour 1 000 habitants. L'octroi de facilitations sous forme de préférence nationale consentie aux entreprises pour l’accès aux marchés publics et l’amélioration de l’offre foncière sont d’autres mesures prises destinées à contribuer à la hausse de la part de l’industrie dans la valeur ajoutée nationale, soit 10% à l’horizon 2014.
D. Akila
EL MOUDJAHID
La nouveauté du Salon qui coïncide avec le cinquantenaire de l’indépendance du pays réside dans le fait que les exposants bénéficieront d’un tarif exceptionnel, pour la circonstance, ainsi que d’une page publicitaire qui sera insérée gratuitement dans le catalogue des exposants, d’un accès internet gratuit par Wifi durant toute la durée du Salon et d’une inscription gratuite aux rencontres B2B qui seront organisées en partenariat avec la CACI. Aussi, le Salon prévoit des journées techniques les 9 et 10 octobre dans l’objectif de baliser le terrain à d’éventuels contacts et relations d’affaires entre industriels algériens et étrangers dans le but de stimuler des partenariats et opportunités de coopération dans l’activité industrielle qui recèle de potentialités importantes en la matière, notamment au sein des PME/PMI, véritable gisement pour l’emploi. A ce propos, il y a lieu de noter que l’ANDPME animera le 9 octobre, en marge du Salon, la première journée technique consacrée à la problématique de la compétitivité des PME. L’ANIREF prendra le relais le 10 octobre pour exposer le programme national de développement de nouvelles zones industrielles. Le Salon qui intervient au moment où le plan d’action du gouvernement est adopté par la chambre basse du Parlement constituera, ainsi, un espace privilégié pour développer les échanges d’expériences, contribuer à une meilleure connaissance du potentiel industriel national, s’enquérir des innovations technologiques, faire une évaluation objective des efforts de développement national et fructifier les relations d’affaires entre partenaires algériens et étrangers. Il y a lieu de souligner, pour la circonstance, que les axes majeurs du programme d’action du secteur portent essentiellement sur le développement de l'investissement productif national et étranger par la consolidation du dispositif national de facilitation et d'incitation à l'investissement productif et créateur d'emplois, l'ajustement du dispositif d'incitation aux besoins identifiés de l'économie nationale pour accroître son efficacité et, aussi, par l'amélioration de l'environnement de l'investissement pour réduire les coûts indus supportés par l'investisseur.
Par ailleurs, il s’inscrit dans l’objectif de renforcement de la contribution du secteur public à la croissance économique et au développement du pays à travers la nouvelle configuration du secteur public marchand avec la mise en place de puissants groupes industriels compétitifs dans les secteurs présentant des avantages comparatifs et la mise en œuvre d'une politique de partenariat visant à assurer une contribution effective des opérations d'ouverture de capital au développement de l'économie nationale. Il s’agit également de renforcement du potentiel industriel national par l'incitation des entreprises, notamment du secteur privé, à participer plus largement au développement du pays, à travers la mise en place de politiques publiques d'appui à la mise à niveau et de modernisation de ces entreprises, notamment sur les plans technologique, managérial et de la formation des ressources humaines. Le programme initié par les pouvoirs publics d’un montant de 386 milliards de dinars prévoit la mise à niveau de 20 000 PME d’ici 2014.
La stratégie du gouvernement pour le secteur prévoit aussi la création de 200 000 PME nouvelles, soit 30 PME pour 1 000 habitants. L'octroi de facilitations sous forme de préférence nationale consentie aux entreprises pour l’accès aux marchés publics et l’amélioration de l’offre foncière sont d’autres mesures prises destinées à contribuer à la hausse de la part de l’industrie dans la valeur ajoutée nationale, soit 10% à l’horizon 2014.
D. Akila
EL MOUDJAHID
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