3 accords de partenariat entre des firmes
britanniques et des entreprises algériennes
La Grande-Bretagne déterminée à développer ses relations économiques
avec l'Algérie
avec l'Algérie
Ces partenariats ambitionnent de lancer des projets conjoints dans les secteurs de l'éducation et la formation, de l'engineering et celui de l'industrie pharmaceutique, a-t-il précisé. Selon M. Hollis, l'"engouement manifesté par les opérateurs britanniques pour ce déplacement en Algérie témoigne de l'intérêt qu'ils portent pour le marché algérien''.
"La forte présence des hommes d'affaires britanniques (36 hommes d'affaires représentant 24 entreprises), qui nous ont accompagnés renseigne sur leur volonté d'investir en Algérie et de s'y implanter dans leurs secteurs respectifs", a-t-il estimé. La délégation du Royaume-Uni qui séjourne depuis dimanche en Algérie est composée de représentants de grands groupes industriels leaders dans leurs secteurs, notamment Rolls-Royce, Cameron, General Dynamics, IHG, Multitone ou SeerPharm.
Ces groupes sont présents dans les secteurs de l'énergie, l'industrie, la formation professionnelle pour les entreprises, le matériel électronique ou la santé. La Grande-Bretagne veut rebondir en Algérie, et ses investissements montent en cadence, avec un niveau de 1,4 milliard de livres sterling en 2009. Le partenariat entre les deux pays a encore un grand potentiel d'évolution et il s'agira d'en mettre en place les mécanismes, à l'occasion des prochaines rencontres bilatérales, selon les milieux d'affaires britanniques. Il y a de nombreuses possibilités pour les entreprises britanniques d'investir en Algérie dans les secteurs hors hydrocarbures, dans les infrastructures de base, la construction, l'environnement, l'eau, les ports, la production pharmaceutique, ou les transports, notamment ferroviaires. Les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Grande-Bretagne avaient atteint en 2010, selon les chiffres des Douanes algériennes, plus de 2 milliards de dollars, dont 1,260 milliard de dollars d'exportations algériennes et 771 millions de dollars d'importations. En 2010, la Grande-Bretagne a été classée 13è client de l'Algérie et aussi son 13è fournisseur.
La Grande-Bretagne déterminée à développer ses relations économiques avec l'Algérie
La Grande-Bretagne est déterminée à développer ses relations, notamment économiques et commerciales avec l'Algérie, a affirmé hier, à Alger l'ambassadeur de la Grande-Bretagne en Algérie, M. Martyn Roper. "Nous sommes déterminés à développer les relations économiques et commerciales avec l'Algérie", a indiqué M. Roper lors d'une conférence de presse animée à l'occasion de la visite d'une délégation d'hommes d'affaires britanniques en Algérie. Estimant que le niveau actuel des relations bilatérales dans le domaine du commerce reste ''en deçà des ambitions des deux pays'', M. Roper a souligné que le Royaume Uni encourage les entreprises britanniques, actives dans des secteurs hors hydrocarbures, à investir en Algérie. "Les opérateurs britanniques qui mènent depuis dimanche dernier une visite de prospection en Algérie (36 opérateurs) représentent pour la majorité des firmes qui exercent dans des secteurs hors hydrocarbures", a-t-il soutenu.
M. Roper a indiqué, toutefois, que des entreprises britanniques sont déjà présentes sur le marché algérien. "Une cinquantaine d'entreprises du Royaume Uni possèdent des représentations en Algérie et activent notamment dans le secteur de l'énergie". Il a affirmé, dans ce contexte, que "l'Algérie est un marché important aux yeux des hommes d'affaires britanniques", ajoutant : "je voudrais que les entreprises britanniques viennent visiter l'Algérie pour s'enquérir des opportunités d'investissement qui y sont offertes".
A une question sur la qualité du climat des affaires et de l'investissement en Algérie, le diplomate a estimé que "la présence de la forte délégation d'hommes d'affaires (36 opérateurs) actuellement en Algérie renseigne sur la qualité de ce climat. Il s'agit pour la plupart de leur première visite en Algérie".
Selon lui, d'autres délégations d'hommes d'affaires britanniques visiteront cette année l'Algérie. M. Roper a souligné, par ailleurs, la "force" des relations algéro-britanniques notamment dans les domaines de la lutte contre le terrorisme, l'énergie, l'immigration et la défense. "Les relations entre le Royaume Uni et l'Algérie sont très fortes.
Nous coopérons dans plusieurs domaines", a-t-il précisé. "La lutte contre le terrorisme est un domaine important. Nous avons un comité sur ce sujet. Aussi, l'énergie est un domaine de coopération très important pour les deux pays, qui ont établi une feuille de route pour augmenter la coopération dans ce domaine. L'immigration aussi est un sujet où nous coopérons avec le gouvernement algérien. Dans le domaine de la défense, plusieurs contacts et visites sont effectués pour consolider la coopération entre les deux pays dans ce domaine", a-t-il expliqué. Pour sa part, le chef de la délégation britannique en visite en Algérie, M. Charles Hollis, a indiqué que trois accords de partenariat ont été conclus entre des entreprises algériennes et britanniques à l'occasion de cette visite entamée dimanche dernier. M. Hollis, qui est le directeur général de la "Middle East Association", un des organisateurs de cette visite d'hommes d'affaires britanniques en Algérie, a précisé que ces partenariats algéro-britanniques ambitionnent de lancer des projets conjoints dans les secteurs de l'éducation et de la formation, de l'engineering et celui de l'industrie pharmaceutique.
La délégation du Royaume Uni, dont la visite en Algérie prendra fin mercredi, est composée de représentants de grands groupes industriels leaders dans leurs secteurs, notamment Rolls-Royce, Cameron, General Dynamics, IHG, Multitone, SeerPharm et AstraZeneca.
Ces groupes sont présents dans les secteurs de l'énergie, de l'industrie, de la formation professionnelle pour les entreprises, du matériel électronique ou de la santé. Les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Grande-Bretagne avaient atteint en 2010, selon les chiffres des Douanes algériennes, plus de 2 milliards de dollars, dont 1,260 milliard de dollars d'exportations algériennes et 771 millions de dollars d'importations.
En 2010, la Grande-Bretagne a été classée 13e client de l'Algérie et aussi son 13e fournisseur.
La Grande-Bretagne est déterminée à développer ses relations, notamment économiques et commerciales avec l'Algérie, a affirmé hier, à Alger l'ambassadeur de la Grande-Bretagne en Algérie, M. Martyn Roper. "Nous sommes déterminés à développer les relations économiques et commerciales avec l'Algérie", a indiqué M. Roper lors d'une conférence de presse animée à l'occasion de la visite d'une délégation d'hommes d'affaires britanniques en Algérie. Estimant que le niveau actuel des relations bilatérales dans le domaine du commerce reste ''en deçà des ambitions des deux pays'', M. Roper a souligné que le Royaume Uni encourage les entreprises britanniques, actives dans des secteurs hors hydrocarbures, à investir en Algérie. "Les opérateurs britanniques qui mènent depuis dimanche dernier une visite de prospection en Algérie (36 opérateurs) représentent pour la majorité des firmes qui exercent dans des secteurs hors hydrocarbures", a-t-il soutenu.
M. Roper a indiqué, toutefois, que des entreprises britanniques sont déjà présentes sur le marché algérien. "Une cinquantaine d'entreprises du Royaume Uni possèdent des représentations en Algérie et activent notamment dans le secteur de l'énergie". Il a affirmé, dans ce contexte, que "l'Algérie est un marché important aux yeux des hommes d'affaires britanniques", ajoutant : "je voudrais que les entreprises britanniques viennent visiter l'Algérie pour s'enquérir des opportunités d'investissement qui y sont offertes".
A une question sur la qualité du climat des affaires et de l'investissement en Algérie, le diplomate a estimé que "la présence de la forte délégation d'hommes d'affaires (36 opérateurs) actuellement en Algérie renseigne sur la qualité de ce climat. Il s'agit pour la plupart de leur première visite en Algérie".
Selon lui, d'autres délégations d'hommes d'affaires britanniques visiteront cette année l'Algérie. M. Roper a souligné, par ailleurs, la "force" des relations algéro-britanniques notamment dans les domaines de la lutte contre le terrorisme, l'énergie, l'immigration et la défense. "Les relations entre le Royaume Uni et l'Algérie sont très fortes.
Nous coopérons dans plusieurs domaines", a-t-il précisé. "La lutte contre le terrorisme est un domaine important. Nous avons un comité sur ce sujet. Aussi, l'énergie est un domaine de coopération très important pour les deux pays, qui ont établi une feuille de route pour augmenter la coopération dans ce domaine. L'immigration aussi est un sujet où nous coopérons avec le gouvernement algérien. Dans le domaine de la défense, plusieurs contacts et visites sont effectués pour consolider la coopération entre les deux pays dans ce domaine", a-t-il expliqué. Pour sa part, le chef de la délégation britannique en visite en Algérie, M. Charles Hollis, a indiqué que trois accords de partenariat ont été conclus entre des entreprises algériennes et britanniques à l'occasion de cette visite entamée dimanche dernier. M. Hollis, qui est le directeur général de la "Middle East Association", un des organisateurs de cette visite d'hommes d'affaires britanniques en Algérie, a précisé que ces partenariats algéro-britanniques ambitionnent de lancer des projets conjoints dans les secteurs de l'éducation et de la formation, de l'engineering et celui de l'industrie pharmaceutique.
La délégation du Royaume Uni, dont la visite en Algérie prendra fin mercredi, est composée de représentants de grands groupes industriels leaders dans leurs secteurs, notamment Rolls-Royce, Cameron, General Dynamics, IHG, Multitone, SeerPharm et AstraZeneca.
Ces groupes sont présents dans les secteurs de l'énergie, de l'industrie, de la formation professionnelle pour les entreprises, du matériel électronique ou de la santé. Les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Grande-Bretagne avaient atteint en 2010, selon les chiffres des Douanes algériennes, plus de 2 milliards de dollars, dont 1,260 milliard de dollars d'exportations algériennes et 771 millions de dollars d'importations.
En 2010, la Grande-Bretagne a été classée 13e client de l'Algérie et aussi son 13e fournisseur.
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