Maison de l'Algérie-Pont d'intelligence

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Club "Génération Entrepreneurs" en Algérie

mercredi 26 janvier 2011




3 accords de partenariat entre des firmes

 britanniques et des entreprises algériennes


La Grande-Bretagne déterminée à développer ses relations économiques
 avec l'Algérie


Trois accords de partenariats ont été conclus entre  des entreprises algériennes et britanniques à l'occasion de la visite que mène  depuis dimanche une délégation d'hommes d'affaires de Grande-Bretagne à Alger, a annonce hier le chef de cette délégation, M. Charles Hollis. "Trois partenariats ont été déjà conclus (entre des entreprises algériennes  et britanniques) alors que notre visite en Algérie n'est pas encore terminée",  s'est félicité le directeur général de la "Middle East Association", M. Charles  Hollis lors d'une conférence de presse qu'il a animée conjointement avec l'ambassadeur  de la Grande-Bretagne en Algérie, M. Martyn Roper.        
Ces partenariats ambitionnent de lancer des projets conjoints dans les secteurs de l'éducation et la formation, de l'engineering et celui de l'industrie  pharmaceutique, a-t-il précisé. Selon M. Hollis, l'"engouement manifesté par les opérateurs britanniques  pour ce déplacement en Algérie témoigne de l'intérêt qu'ils portent pour le  marché algérien''.        
"La forte présence des hommes d'affaires britanniques (36 hommes d'affaires représentant 24 entreprises), qui nous ont accompagnés renseigne sur leur volonté d'investir en Algérie et de s'y implanter dans leurs secteurs respectifs", a-t-il  estimé. La délégation du Royaume-Uni qui séjourne depuis dimanche en Algérie  est composée de représentants de grands groupes industriels leaders dans leurs  secteurs, notamment Rolls-Royce, Cameron, General Dynamics, IHG, Multitone  ou SeerPharm.         
Ces groupes sont présents dans les secteurs de l'énergie, l'industrie,  la formation professionnelle pour les entreprises, le matériel électronique  ou la santé. La Grande-Bretagne veut rebondir en Algérie, et ses investissements  montent en cadence, avec un niveau de 1,4 milliard de livres sterling en  2009. Le partenariat entre les deux pays a encore un grand potentiel d'évolution  et il s'agira d'en mettre en place les mécanismes, à l'occasion des prochaines  rencontres bilatérales, selon les milieux d'affaires britanniques. Il y a de nombreuses possibilités pour les entreprises britanniques  d'investir en Algérie dans les secteurs hors hydrocarbures, dans les infrastructures  de base, la construction, l'environnement, l'eau, les ports, la production pharmaceutique, ou les transports, notamment ferroviaires.  Les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Grande-Bretagne avaient  atteint en 2010, selon les chiffres des Douanes algériennes, plus de 2 milliards  de dollars, dont 1,260 milliard de dollars d'exportations algériennes et 771  millions de dollars d'importations.  En 2010, la Grande-Bretagne a été classée 13è client de l'Algérie et aussi son 13è fournisseur.
La Grande-Bretagne déterminée à développer ses relations économiques avec l'Algérie 
La Grande-Bretagne est déterminée à développer ses  relations, notamment économiques et commerciales avec l'Algérie, a affirmé hier, à Alger l'ambassadeur de la Grande-Bretagne en Algérie, M. Martyn Roper.  "Nous sommes déterminés à développer les relations économiques et commerciales  avec l'Algérie", a indiqué M. Roper lors d'une conférence de presse animée à  l'occasion de la visite d'une délégation d'hommes d'affaires britanniques en  Algérie. Estimant que le niveau actuel des relations bilatérales dans le domaine  du commerce reste ''en deçà des ambitions des deux pays'', M. Roper a  souligné que le Royaume Uni encourage les entreprises britanniques, actives  dans des secteurs hors hydrocarbures, à investir en Algérie. "Les opérateurs britanniques qui mènent depuis dimanche dernier une  visite de prospection en Algérie (36 opérateurs) représentent pour la majorité  des firmes qui exercent dans des secteurs hors hydrocarbures", a-t-il soutenu.        
M. Roper a indiqué, toutefois, que des entreprises britanniques sont  déjà présentes sur le marché algérien. "Une cinquantaine d'entreprises du Royaume  Uni possèdent des représentations en Algérie et activent notamment dans le secteur  de l'énergie". Il a affirmé, dans ce contexte, que "l'Algérie est un marché important  aux yeux des hommes d'affaires britanniques", ajoutant : "je voudrais que les  entreprises britanniques viennent visiter l'Algérie pour s'enquérir des opportunités  d'investissement qui y sont offertes".        
A une question sur la qualité du climat des affaires et de l'investissement  en Algérie, le diplomate a estimé que "la présence de la forte délégation d'hommes d'affaires (36 opérateurs) actuellement en Algérie renseigne sur la qualité  de ce climat. Il s'agit pour la plupart de leur première visite en Algérie".        
Selon lui, d'autres délégations d'hommes d'affaires britanniques visiteront  cette année l'Algérie. M. Roper a souligné, par ailleurs, la "force" des relations  algéro-britanniques notamment dans les domaines de la lutte contre le terrorisme,  l'énergie, l'immigration et la défense. "Les relations entre le Royaume Uni  et l'Algérie sont très fortes.
Nous coopérons dans plusieurs domaines", a-t-il  précisé.          "La lutte contre le terrorisme est un domaine important. Nous avons  un comité sur ce sujet. Aussi, l'énergie est un domaine de coopération très important pour les deux pays, qui ont établi une feuille de route pour augmenter  la coopération dans ce domaine. L'immigration aussi est un sujet où nous coopérons  avec le gouvernement algérien. Dans le domaine de la défense, plusieurs contacts  et visites sont effectués pour consolider la coopération entre les deux pays  dans ce domaine", a-t-il expliqué.  Pour sa part, le chef de la délégation britannique en visite en Algérie,  M. Charles Hollis, a indiqué que trois accords de partenariat ont été conclus  entre des entreprises algériennes et britanniques à l'occasion de cette visite  entamée dimanche dernier. M. Hollis, qui est le directeur général de la "Middle East Association", un des organisateurs de cette visite d'hommes d'affaires britanniques en Algérie,  a précisé que ces partenariats algéro-britanniques ambitionnent de lancer des  projets conjoints dans les secteurs de l'éducation et de la formation, de l'engineering  et celui de l'industrie pharmaceutique.        
La délégation du Royaume Uni, dont la visite en Algérie prendra fin  mercredi, est composée de représentants de grands groupes industriels leaders  dans leurs secteurs, notamment Rolls-Royce, Cameron, General Dynamics, IHG,  Multitone, SeerPharm et AstraZeneca.          
Ces groupes sont présents dans les secteurs de l'énergie, de l'industrie,  de la formation professionnelle pour les entreprises, du matériel électronique  ou de la santé.  Les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Grande-Bretagne avaient atteint en 2010, selon les chiffres des Douanes algériennes, plus de 2 milliards  de dollars, dont 1,260 milliard de dollars d'exportations algériennes et 771  millions de dollars d'importations.        
En 2010, la Grande-Bretagne a été classée 13e client de l'Algérie  et aussi son 13e fournisseur.

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