Contrairement au secteur public qui a enregistré une baisse de son activité industrielle durant le 3eme trimestre 2011, le secteur privé, lui, a connu une hausse durant la même période.
Les résultats de l’enquête d’opinion réalisée auprès des chefs d’entreprises par l’Office national des statistiques (ONS) précisent que plus de 77% des entreprises publiques et 86% de celles du privé ont utilisé leurs capacités de production à 75%.
L’enquête qui a touché 740 entreprises dont 340 publiques et 400 privées. L’activité industrielle devra, selon les prévisions de la même source, connaître une reprise durant les mois prochains.
L’enquête qui a touché 740 entreprises dont 340 publiques et 400 privées. L’activité industrielle devra, selon les prévisions de la même source, connaître une reprise durant les mois prochains.
En effet, les patrons des deux secteurs misent, pour les mois prochains, sur des hausses pour la demande des produits fabriqués, des prix de vente avec une meilleure perspective de leur trésorerie, alors que les effectifs connaîtront une hausse selon les chefs d’entreprises privé et une légère baisse selon ceux du public.
Penchant son étude sur le type et le rythme de l’activité industrielle la même enquête a révélé que le niveau d’approvisionnement en matières premières reste inférieur aux besoins exprimés, selon près de 22% des industriels publics enquêtés.
Suite à quoi près de 14% du potentiel de production du secteur public et plus de 27% de celui du privé ont enregistré des ruptures de stocks ayant causé des arrêts de travail supérieurs à 10 jours pour la moitié des entreprises concernées des deux secteurs.
Les chefs d’entreprises ont noté que leurs activités ont été confronté à des pannes d’électricité (69% du potentiel de production du secteur privé et plus de 45% de celui public), une chute des effectifs en raison des départs volontaires à la retraite et une qualification « insuffisante» du personnel.
D’autre part, « l’allongement des délais de recouvrement des créances, les charges élevées et le remboursement des emprunts et la rigidité des prix continuent d’influer sur la situation de la trésorerie des entreprises », avertit l’enquête. Ainsi, près de 15% du potentiel de production du secteur public et près de 59% de celui du privé ont eu recours à des crédits bancaires, et seulement 21% des chefs d'entreprises du public et près de 8% de ceux du privé ont trouvé "des difficultés à les contracter », relève l’ONS
El Watan avec APS
Penchant son étude sur le type et le rythme de l’activité industrielle la même enquête a révélé que le niveau d’approvisionnement en matières premières reste inférieur aux besoins exprimés, selon près de 22% des industriels publics enquêtés.
Suite à quoi près de 14% du potentiel de production du secteur public et plus de 27% de celui du privé ont enregistré des ruptures de stocks ayant causé des arrêts de travail supérieurs à 10 jours pour la moitié des entreprises concernées des deux secteurs.
Les chefs d’entreprises ont noté que leurs activités ont été confronté à des pannes d’électricité (69% du potentiel de production du secteur privé et plus de 45% de celui public), une chute des effectifs en raison des départs volontaires à la retraite et une qualification « insuffisante» du personnel.
D’autre part, « l’allongement des délais de recouvrement des créances, les charges élevées et le remboursement des emprunts et la rigidité des prix continuent d’influer sur la situation de la trésorerie des entreprises », avertit l’enquête. Ainsi, près de 15% du potentiel de production du secteur public et près de 59% de celui du privé ont eu recours à des crédits bancaires, et seulement 21% des chefs d'entreprises du public et près de 8% de ceux du privé ont trouvé "des difficultés à les contracter », relève l’ONS
El Watan avec APS
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