Maison de l'Algérie-Pont d'intelligence

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Club "Génération Entrepreneurs" en Algérie

jeudi 25 décembre 2014

Sellal inaugure la 23ème Foire de la production algérienne

Sellal inaugure la 23ème Foire de la production algérienne     

Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a inauguré, mercredi au Palais des Expositions (Pins maritimes) à Alger, la 23ème Foire de la production algérienne qui réunit 418 producteurs nationaux de différents secteurs d'activités.
M. Sellal était accompagné lors de la cérémonie d'inauguration de la Foire, qui se tient du 24 au 30 décembre, par des membres du gouvernement.
Des produits industriels et de grande consommation sont exposés à la 23ème Foire de la production algérienne et concernent six secteurs d'activités représentés par 186 entreprises publiques et 232 privées, installées dans des stands sur une superficie totale de 13.577 m2.
Il s'agit de l'agroalimentaire, les industries manufacturières, l'énergie,  chimie et pétrochimie, les industries électriques et électroniques, la mécanique, sidérurgie et métallurgie, et les services de télécommunication et des agences de communication et publicité.
La Foire comprend un espace vente d'une superficie de 1.000 m2.
A la même occasion, la quatrième édition du salon des banques, assurances et des produits financiers "Expofinances 2014", organisée par la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci), a été inaugurée.
L'exposition se déroulera jusqu'au 30 décembre et regroupera les différents opérateurs des banques, assurances, des institutions de la bourse et des sociétés émettrices de titres, ainsi que des sociétés et des organismes de promotion immobilière utilisant les crédits.
Plusieurs conférences et ateliers seront animés lors de cette manifestation économique, portant notamment sur les dispositifs de financement des PME/PMI, la maintenance immobilière, l'entrée en bourse des PME et le e-paiement.
APS

mercredi 24 décembre 2014

Algérie-UE: Plus de 8 mds de dollars de manque à gagner de recettes douanières



L’Accord d’association entre l’Algérie et l’Union européenne a engendré un manque à gagner de plus de huit (8) milliards de dollars aux recettes douanières algériennes depuis sa mise en oeuvre en 2005 jusqu'à fin 2013, a appris mardi l'APS auprès de sources douanières.
Le montant total de la moins-value fiscale induite par la mise en oeuvre de cet Accord d’association s'est élevé à 658,7 milliards (mds) de DA, soit plus de 8 mds de dollars, entre 2005 et fin 2013, précise la même source.
Le manque à gagner fiscal s’est creusé successivement depuis 2005, affecté par le démantèlement tarifaire prévu par cet accord commercial entré en vigueur il y a neuf (9) ans.
Ce manque à gagner en termes de recettes fiscales a été de 7,7 mds de DA en 2005, de 31 mds de DA en 2006 puis de 38,8 mds de DA en 2007, selon les chiffres fournis par cette source.
A partir de 2008, la moins-value fiscale a nettement doublé à 75 mds de DA avant de passer à 85,3 mds de DA en 2009 pour redescendre à 76,6 mds de DA en 2010, année durant laquelle l’Algérie a entamé, par une décision unilatérale, l’application du gel du démantèlement tarifaire prévu par cet accord afin de préserver certaines de ses filières productives.
Mais en dépit de ce gel, le manque à gagner a progressé par la suite pour atteindre un montant de 104 mds de DA en 2011, de 110,1 mds de DA en 2012 et de 130,1 mds de DA en 2013.
''Cette moins-value aurait été plus importante s’il n’y avait pas eu cette décision du gouvernement de geler le démantèlement tarifaire'', commente la même source.
Quant au manque à gagner enregistré suite à l’accord de la Grande zone Arabe de libre-échange (GZALE), entré en vigueur en 2009, il s'est élevé à 65,5 mds de DA entre 2009 et fin 2013.
"Avec ces deux espaces commerciaux (UE et GZALE), nous avons perdu plus de 724,2 mds de DA, soit plus de 9 mds de dollars", relève cette source qui souligne les déséquilibres, sans cesse croissants, caractérisant les échanges entre l’Algérie et l’UE.
L’Accord d’association Algérie-UE, poursuit-elle, a largement profité à la partie européenne qui n’a pas, en contrepartie, satisfait la demande de l’Algérie pour son accompagnement dans la mise à niveau de son économie, pourtant prévu dans l’accord.
APS

jeudi 18 décembre 2014

Le FMI salue le regain d’activité économique de l'Algérie mais constate des vulnérabilités

Le FMI salue le regain d’activité économique de l'Algérie mais constate des vulnérabilités     

Le conseil d’administration du FMI a salué, dans sa nouvelle évaluation de la situation économique de l’Algérie, le regain d’activité économique du pays mais tout en relevant des vulnérabilités dans un contexte de baisse des prix de pétrole.
C’est l’une des principales conclusions de l’institution de Bretton Woods publiées jeudi soir dans sa note d’information suite à la réunion de son conseil d’administration tenue le 1er décembre dans le cadre de son évaluation annuelle de l’économie de l'Algérie conformément aux dispositions de l’article IV de ses statuts.
Dans son analyse de la situation économique qui a prévalu en Algérie durant l’année 2014, le conseil d’administration du FMI souligne que l’activité économique s’est raffermie avec une croissance du PIB réel qui devrait se hisser à 4% en 2014 contre 2,8% en 2013.
Cette institution financière internationale note que le secteur des hydrocarbures devrait progresser pour la première fois en huit ans tandis que dans les autres secteurs, la croissance reste "porteuse".
L’inflation, ajoute le Fonds, a marqué un net repli pour se situer à 2,1% grâce en partie au resserrement de la politique monétaire.
Pour le FMI, "l’Algérie continue à avoir d’importantes marges de manoeuvre sur les plans extérieur et budgétaire mais les menaces qui pèsent sur la stabilité macroéconomique s’accentuent".
Pour la première fois en près de 15 ans, le compte des transactions courantes devrait se solder par un déficit, avance le Fonds.
A moyen terme, les déficits devraient se creuser car la forte consommation intérieure d’hydrocarbures et la baisse des cours du pétrole sont défavorables aux recettes d'exportations, tandis que les importations, stimulées par les dépenses publiques, continuent d’augmenter, indique cette institution qui observe que les exportations ne sont pas suffisamment diversifiées.
Le déficit budgétaire devrait se creuser à plus de 7% en raison du recul des recettes d’hydrocarbures, de la nette hausse des dépenses d’investissement et de la poursuite des fortes dépenses courantes, avise-t-il.
Pour le FMI, les recettes hors hydrocarbures sont inférieures à leur potentiel, la masse salariale est élevée, et les subventions et transferts sont coûteux, représentant environ 26% du PIB, indiquant que l’épargne budgétaire devrait baisser pour la deuxième année consécutive.
"L’Algérie jouit certes d’une stabilité macroéconomique, mais elle a besoin d’une croissance plus rapide et plus solidaire pour créer suffisamment d’emplois à l’intention de sa population jeune", préconise-t-il.
Sur la base de l’ensemble de ces données, le conseil d’administration du FMI s’est félicité, tout d’abord, "du regain d’activité économique, du nouveau recul de l’inflation et de l’ampleur des marges de manoeuvre mais constate, en même temps, des vulnérabilités croissantes dans un contexte de baisse des prix du pétrole: détérioration de la situation budgétaire et du solde des transactions courantes et diminution de l’épargne budgétaire et des réserves de change."
En conséquence, il préconise de prendre rapidement des mesures pour préserver la stabilité macroéconomique, en les complétant par des réformes de grande envergure pour diversifier l’économie, améliorer la compétitivité et promouvoir une croissance solidaire et la création d’emplois.
Il souligne la nécessité d’un assainissement persistant des finances publiques, ancré sur des règles budgétaires crédibles pour remédier au déficit budgétaire croissant et assurer la viabilité des finances publiques.
Dans ce sens, il a salué l’intention des autorités algériennes de passer à un cadre budgétaire à moyen terme et de continuer à renforcer la gestion des finances publiques.
Le FMI  souligne aussi qu’il est favorable à une augmentation des émissions de bons du trésor pour contribuer à résorber les liquidités, en réduisant le besoin de recourir au fonds d’épargne pétrolière pour financer le budget, tout en approfondissant en même temps le marché de capitaux.
Il s’est ainsi félicité de l’élaboration prévue de nouveaux instruments de politique monétaire, avec l’appui du FMI, pour assurer la gestion des liquidités.
Les membres du conseil d’administration du FMI ont reconnu d’un commun accord que la sauvegarde de la stabilité extérieure est prioritaire et exige une stratégie efficace, visant à diversifier les exportations du pays tout en améliorant la capacité d’exportation du secteur des hydrocarbures.
APS

Promotion du partenariat Algéro-français en matière de gestion hôtelière, thème d'une rencontre à Alger

Promotion du partenariat Algéro-français en matière de gestion hôtelière, thème d'une rencontre à Alger     

La promotion du partenariat entre l'Algérie et la France dans le domaine de "l'hôtellerie et de l'ingénierie touristique" a été au centre d'une rencontre organisée mardi à Alger.
La ministre du Tourisme et de l'artisanat, Nouria Yamina Zerhouni a souligné l'importance de cette rencontre qui a regroupé les opérateurs des deux pays dans le domaine du tourisme et de la gestion hôtelière, ce qui dénote, "la volonté des deux pays de renforcer la coopération pour bâtir ensemble un partenariat stratégique, durable et mutuellement bénéfique".
La ministre a passé en revue les réalisations accomplies par son secteur, en matière de formation, de valorisation des ressources humaines et de développement des services, en tirant profit des expériences étrangères.
Elle a, dans ce sens, préconisé "d'améliorer la formation dans les divers métiers du tourisme, notamment en matière de gestion hôtelière pour assurer un meilleur encadrement pour le management et la gestion des activités touristiques".
"Le Schéma directeur d'aménagement touristique" (SDAT) qui trace la politique touristique de l'Algérie à l'horizon 2030, constitue "le cadre stratégique de référence par excellence", a-t-elle rappelé.
Le SDAT repose sur cinq axes, portant essentiellement sur la nécessité d'insuffler une nouvelle dynamique au tourisme de manière à associer le secteur aux efforts de développement économique et à générer l'emploi au profit des jeunes.
Il concerne aussi le développement de pôles et villages touristiques d'excellence par la rationalisation de l'investissement, le respect du plan qualité touristique par la formation de la ressource humaine, l'établissement du partenariat public-privé.
La ministre a insisté sur l'impératif de tirer profit de l'expérience des experts français dans ce domaine, eu égard "à la place de choix" qu'occupe la France dans le domaine touristique, précisant qu'elle constitue la première destination touristique au monde.
L'ambassadeur de France à Alger, Bernard Emié a souligné l'importance d'encourager et de développer la coopération et le partenariat entre les deux pays, notamment dans le secteur touristique, eu égard à la richesse et la diversité touristique de l'Algérie.
Il a, dans ce sens, mis en avant "la grande expérience" de la France dans le domaine, affirmant la disponibilité des experts de son pays à mettre à profit leurs expériences dans le domaine de gestion hôtelière.
Le diplomate français a, en outre, souligné que le secteur du tourisme était générateur d'emploi et contribuait à la réalisation du développement durable, estimant à 1 milliard le nombre de touristes à travers le monde.
Un nombre appelé à augmenter pour atteindre 2 milliards durant les quinze prochaines années, a-t-il ajouté. La rencontre a été ponctuée par plusieurs interventions d'opérateurs et experts algériens et français qui ont insisté sur la nécessité de développer et d'améliorer le niveau de formation, notamment en matière de gestion hôtelière.
Les conférenciers ont évoqué le rôle de l'Office national algérien du tourisme (ONAT) dans la promotion du tourisme interne.
APS

mercredi 10 décembre 2014

Les opportunités d'investissement en Algérie présentées à Londres

Les opportunités d'investissement en Algérie présentées à Londres     


Un forum algéro-britannique sur le commerce et l'investissement en Algérie se tient mercredi à Londres pour notamment présenter les opportunités d'affaires en Algérie à même de promouvoir davantage le partenariat économique entre les deux pays.
La rencontre est marquée par la présence des ministres de l'industrie et des mines, Abdeslem Bouchouareb, et du commerce, Amara Benyounes, aux côtés du ministre britannique des affaires étrangères, Phillip Hammond, et du représentant personnel du premier ministre britannique pour la promotion du partenariat économique algéro-britannique, Lord Richard Risby.
Cette manifestation économique vise à présenter aux hommes d'affaires britanniques les opportunités d'investissement en Algérie et les avantages comparatifs du marché algérien et à identifier les secteurs dans lesquels les deux pays peuvent renforcer davantage leur coopération économique.
"Les sociétés britanniques commencent à découvrir le marché algérien et veulent faire plus encore. Il s'agit donc de faire connaître les opportunités que représente le marché algérien et de promouvoir le partenariat économique algéro-britannique, au moment ou notre économie est orientée vers la diversification", a précisé une source diplomatique algérienne à l'APS.
Lord Risby avait déclaré lors de sa visite à Alger en novembre dernier, que ce forum constituait une étape "importante" dans le renforcement du partenariat entre les deux pays et il visait à montrer à la communauté des investisseurs britanniques que l'Algérie "est un pays ouvert aux affaires".
Des hommes d'affaires et des porteurs de projets algériens et britanniques prennent part à la rencontre qui va se dérouler, après la séance d'ouverture, sous forme de rencontres interactives pour permettre d'initier des projets de partenariat potentiels.
Le partenariat dans tous les secteurs économiques sera évoqué lors de cette rencontre, de même que la coopération dans le domaine de l'enseignement supérieur et la promotion de l'enseignement de la langue anglaise, notamment à travers les activités du British Council en Algérie.
L'idée de cette rencontre avait été proposée la première fois en juin dernier à l'occasion de la visite de Lord Risby à Alger, et avait été "reçue positivement" du côté algérien, a souligné la source diplomatique.
Selon la même source, le forum vient à "point nommé", puisque sa tenue permet de "conforter la vision britannique accordée à l'importance de l'Algérie, comme étant un pays prioritaire avec lequel la Grande-Bretagne voudrait développer ses relations".
"Avec son potentiel économique, sa stabilité politique et sa position géostratégique, l'Algérie est un marché captif, aux nombreux avantages comparatifs, alors que la Grande-Bretagne est une économie solide qui se porte bien au sein de l'Union européenne. De là, il y a pour les deux parties un intérêt commun à développer et diversifier une coopération mutuellement bénéfique", a relevé la même source.
A l'occasion de ce forum, il est prévu l'installation d'une commission mixte de haut niveau et la signature d'un accord bilatéral sur la non double imposition au profit des opérateurs économiques des deux pays.
En 2013, la Grande-Bretagne occupait la 7è place d'échanges avec l'Algérie avec un volume de 7,19 milliards de dollars d'exportations algériennes.
Les importations étaient de l'ordre de 1,17 milliards de dollars, et ont consisté principalement en des biens d'équipements, des produits chimiques et alimentaires.
En septembre dernier, le Foreign Office avait publié une note d'information sur l'Algérie destinée aux milieux d'affaires britanniques dans laquelle il avait assuré que l'Algérie était un pays "politiquement stable" et où "les affaires peuvent prospérer".
Outre les relations économiques, les relations entre l'Algérie et la Grande-Bretagne au plan politique se sont intensifi
ées ces dernières années.
Au plan sécuritaire, Alger et Londres expriment une convergence totale de vues dans le domaine de la lutte antiterroriste, notamment le refus de versement des rançons aux groupes terroristes pour la libération d'otages afin de tarir les sources de financement du fléau du terrorisme qui menace la paix et la sécurité dans le monde.
Les relations entre les deux pays se sont renforcées davantage depuis la visite du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à Londres en 2006 et celle du Premier ministre britannique, David Cameron, à Alger en janvier 2013.
 APS

samedi 6 décembre 2014

L'Algérie et la France soulignent leur volonté de hisser leur partenariat économique

L'Algérie et la France soulignent leur volonté de hisser leur partenariat économique     




L'Algérie et la France ont souligné, à l'issue de la 2ème session du Comité intergouvernemental de haut niveau (CIHN), tenue jeudi à Paris, leur volonté de hisser le niveau du partenariat économique et industriel entre les deux pays et réaffirmé leur volonté commune d’approfondir leur dialogue politique au plus haut niveau.
"Les deux parties ont souligné leur volonté de hisser le partenariat économique et industriel entre la France et l’Algérie au niveau d’excellence de leurs relations politiques et se sont félicitées de la réussite de la deuxième session du Comité mixte économique franco-algérien (COMEFA) tenue à Oran le 10 novembre 2014, à l’occasion de l’inauguration de l’usine Renault Algérie Production", selon le communiqué conjoint rendu public à l'issue de la 2ème session du CIHN.
Les deux parties ont également réaffirmé leur volonté commune d’approfondir leur dialogue politique "au plus haut niveau" et souligné leur appréciation pour "la qualité et la régularité des rencontres entre les deux gouvernements".
Elles ont, en outre, pris note "avec satisfaction" de la première session du dialogue stratégique qui s’est tenue au niveau des secrétaires généraux des ministères des Affaires étrangères le 16 octobre dernier.
Cette session à laquelle ont pris part un certain nombre de membres des deux gouvernements, a permis de dresser un bilan des progrès effectués dans la feuille de route bilatérale retenue lors de la première session du 16 décembre 2013 à Alger et de "fixer de nouveaux objectifs ambitieux" dans l’ensemble des volets de la relation bilatérale, est-il mentionné dans le document.
APS

vendredi 5 décembre 2014

Visite de Sellal à Paris : une moisson d’accords signés

Sellal Valls Algérie France L'Economiste Maghrébin




A l’ouverture des travaux de la deuxième session du Comité intergouvernemental de haut niveau ( CIHN ) algéro-français, le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, actuellement en visite à Paris à la tête d’une importante délégation de ministres et d’hommes d’affaires, a évoqué la sortie de l’usine d’Oran de la première Renault Symbol fabriquée en Algérie, comme constituant  «le bon exemple de partenariat gagnant-gagnant que nous ambitionnons de démultiplier avec les opérateurs français dans d’autres domaines d’activité, tels que l’agriculture, l’énergie et le tourisme», s’est-il réjoui.
Au terme de la visite de M. Sellal à Paris, les deux parties ont signé les accords suivants, rapporte notre confrère algérois El Watan:
1- Convention de partenariat pour la création d’un centre d’excellence algéro-français de formation aux métiers de l’énergie et de l’électricité.
2- Conventions de coopération dans le domaine du sport
3- Convention de coopération professionnelle entre le ministère de l’Industrie et des Mines et l’Institut d’Economie Industrielle ( IDEI ) concernant l’accompagnement pédagogique au développement de l’Ecole nationale d’économie industrielle ( ENEI ).
4- Protocole d’accord entre la société IBSE International et le ministère algérien de  l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville sur des garanties d’achat de la production d’IBSE (préfabriqués).
5- Déclaration d’intention sur la coopération de défense.
6- Accord de coopération scientifique et technique dans le domaine des utilisations pacifiques de l’énergie nucléaire.
7-Protocole d’accord pour l’extension de l’activité Cital à l’ingénierie, la fabrication et la maintenance d’autorails entre la SNTF, Cital, Ferrovial , EMA, Alstom Transports et Alstom/Algérie.
8- Protocole d’accord pour la constitution d’une société mixte en matière de semences céréalières et fourragères entre Axéréal et l’Office algérien interprofessionnel des céréales.
9- Convention cadre de partenariat économique et d’appui technique à la structuration et au développement de la filière bovine algérienne entre SGP Proda et Onilev pour la partie algérienne et Interbev pour la partie française.
10- Création d’une JV (49-51%) dans le domaine des études et engineering pour la réalisation des infrastructures et matériels ferroviaires, entre Sitirail ( filiale de SNTF ) et Systra/France.
 Économiste Maghrebin