Maison de l'Algérie-Pont d'intelligence

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Club "Génération Entrepreneurs" en Algérie

samedi 27 septembre 2014

M. Bouchouareb participe au sommet régional du Forum économique mondial à Istanbul

M. Bouchouareb participe au sommet régional du Forum économique mondial à Istanbul

Le ministre de l'Industrie et des mines Abdesselam Bouchouareb prendra part dimanche et lundi à Istanbul (Turquie) au sommet régional (Europe, la région MENA et Eurasie) du Forum économique mondial, indique samedi un communiqué du ministère.
M. Bouchouareb fera une communication sur la nouvelle vision économique de l'Algérie, la stratégie industrielle en phase de mise en oeuvre et les différentes réformes engagées, notamment pour l'amélioration du climat de l'investissement en Algérie, a précisé la même source.
Cette rencontre accueillera plus de 1000 participants parmi les représentants des gouvernements, les milieux d'affaires et de la société civile de plusieurs pays d'Europe, du Moyen-Orient, de l'Afrique du Nord et de l'Asie centrale.
Le ministre aura en marge du sommet des rencontres avec des ministres en charge de l'économie et de l'industrie des pays participants ainsi qu'avec des décideurs et investisseurs.
Cette réunion sera une occasion pour les intervenants régionaux et mondiaux pour mieux comprendre, s'adapter et formuler les transformations nationales et régionales en s'engageant avec les décideurs économiques, les dirigeants du monde des affaires, les gouvernements et la société civile.
Elle sera axée sur quatre thématiques principales: il s'agit de l'avenir de la région et la prochaine présidence du G20 par la Turquie, les dynamiques de changement de l'énergie dans la région, de la construction d'entreprises et d'économies inclusives et les infrastructures comme une plate-forme matérielle et numérique pour la croissance.
Le sommet a pour principal objectif d'aider les investisseurs des entreprises et compagnies régionales et internationales à analyser et à s'adapter aux modifications en cours au sein des économies nationales, selon le communiqué.
APS

lundi 22 septembre 2014

Les hommes d'affaires algériens invités à la 18ème édition du salon "Ecomondo" (CACI)

Les hommes d'affaires algériens invités à la 18ème édition du salon "Ecomondo" (CACI)

Les hommes d'affaires algériens sont invités à prendre part à la 18ème édition du salon International de la récupération de matière et dÆénergie et du développement durable "Ecomondo 2014" prévue en octobre en Italie, indique la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci).
Une délégation dÆhommes dÆaffaires algériens sera présente à cette nouvelle édition qui se tiendra du 5 au 8 Novembre 2014 à Rimini en Italie, précise la Caci sur son site web.
Dans ce cadre et en marge de ce salon, des rencontres dÆaffaires B2B seront organisées entre les hommes dÆaffaires algériens et ceux du bassin méditerranéen qui portent de lÆintérêt à la gestion des déchets et des matières premières et la production d'énergie à partir de sources renouvelables, ajoute la même source.
Les expositions porteront sur la collecte, traitement, recyclage et transport des déchets, énergie et énergie renouvelable, plastique et caoutchouc, papier et carton, bois, transformation des métaux , industrie chimique et pharmaceutique.
Cette manifestation est considérée comme une des plus importantes plates-formes méditerranéennes dans le domaine de la valorisation et du recyclage de déchets ainsi que l'industrie du futur.
APS

samedi 13 septembre 2014

PLF 2015: de nouvelles mesures pour soutenir l'investissement productif

PLF 2015: de nouvelles mesures pour soutenir l'investissement productif

De nouvelles mesures incitatives à l'investissement notamment dans le secteur de l'industrie sont introduites dans le projet de la loi des finances (PLF) pour 2015 en vue de poursuivre la politique de l'Etat de soutien à l'investissement productif et de la diversification de l'économie nationale.
Selon le PLF 2015, dont l'APS a obtenu une copie, l'Etat va octroyer encore d'avantages fiscaux aux investisseurs qui portent sur les activités relevant des filières industrielles.
A ce titre, ces investissements bénéficieront d'une exonération en matière d'Impôts sur les bénéfices des sociétés (IBS) ou d'Impôts sur le revenu global (IRG) et de la taxe sur l'activité professionnelle (TAP) pour une durée de cinq ans et d'une bonification à 3% des taux d'intérêts applicables aux prêts bancaires.
Il est prévu également, dans le même texte, une exonération des droits d'enregistrement, de la taxe de publicité foncière et de la rémunération domaniale, des actes administratifs établis par les services des domaines et portant concession des biens immobiliers bâtis et non bâtis octroyés dans le cadre de l'ordonnance n°08-04 du 1 septembre 2008.
Le PLF 2015 propose d'exclure les investissements productifs du champs d'application des dispositions de ladite ordonnance, fixant les conditions et modalités de concession des terrains relevant du domaine privé de l'Etat destinés à la réalisation de projets d'investissement, des parcelles de terrains destinés à la promotion immobilière commerciale qui obéissent au mode de concession convertible en cession à la réalisation effective du projet.
Le texte propose également de réviser le mode de calcul de la redevance locative annuelle à 1/33 au lieu 1/20 actuellement sur les concessions des terrains relevant du domaine privé de l'Etat destinés à la réalisation de projets d'investissements.
Sur un autre plan et dans une logique de promouvoir l'innovation au sein des entreprises relevant du secteur industriel, l'Etat envisage d'octroyer des avantages fiscaux (TVA et droits des douanes) et une prime de formation au profit des investissements réalisés par ces entreprises dans le domaine de la recherche et développement.
Le Trésor public devra, à cet effet, prendre en charge les intérêts bancaires contractés par les entreprises industrielles destinés à l'acquisition et la maîtrise de procédés technologiques en vue d'améliorer le taux d'intégration industrielle et la compétitivité de leurs produits.
Le projet de loi du budget de l'Etat pour 2015 prévoit en outre la prorogation jusqu'au 31 décembre 2019 de l'application du taux d'intérêt de droit de douane aux acquisitions d'équipements et d'ameublements non produits localement selon des standards hôteliers et rentrant dans le cadre des opérations de modernisation et de mise à niveau.
Par ailleurs, le texte propose à ce que le Trésor public prenne en charge les intérêts pendant la période de différé et la bonification à 100% du taux d'intérêts des prêts accordés par les banques publiques, dans le cadre de la réalisation du programme de 80.000 logements en location-vente.
En plus, les locaux commerciaux liés à ce programme bénéficieront d'une bonification de 2,4% du taux d'intérêt. Le Trésor prend en charge les intérêts pendant la période de différé.
APS

Le Royaume-Uni rassure ses investisseurs sur le climat des affaires en Algérie

Le Royaume-Uni rassure ses investisseurs sur le climat des affaires en Algérie

Le ministère britannique des Affaires étrangères a rassuré vendredi les investisseurs britanniques potentiels sur le climat des affaires en Algérie, soulignant que c'est un pays "politiquement stable".
Dans une nouvelle note d'information sur l'Algérie qu'il vient de publier sur son site internet à l'intention des milieux d'affaires, le ministère donne des informations utiles sur plusieurs questions parmi lesquelles la politique, l'économie, la corruption, les droits de l'homme, la menace terroriste, la protection de la propriété intellectuelle et des droits d'auteur ainsi que le crime organisé.
Le ministère informe, dans sa note, les hommes d'affaires britanniques que "l'Algérie a annoncé un nouveau programme d'investissement pour la période 2014-2019, comparable à celui de 2010-2014, pour lequel le gouvernement avait alloué une enveloppe de 285 milliards de dollars".
Le document souligne qu'en plus des hydrocarbures, "il y a des opportunités (d'investissement) dans tous les domaines, dont la santé publique, l'éducation, les infrastructures, l'agriculture, la vente au détail et le secteur des finances".
Le Foreign office se réjouit que "les Algériens soient ouverts à l'égard du Royaume-Uni" et se félicite de "l'excellente relation entre les deux pays", mais avertit les entrepreneurs que "faire des affaires en Algérie peut être difficile" notamment "en raison des lenteurs bureaucratiques et de la rude concurrence".
A ceux, parmi les investisseurs potentiels qui s'interrogeraient sur la question de la corruption, le ministère informe que "les appels d'offres du gouvernement algérien suivent des procédures strictes pour réduire le risque de pots-de-vin dans l'attribution des contrats".
Il a souligné dans ce sens que "de nombreuses entreprises britanniques font état d'opérations commerciales réussies avec l'Algérie, loin de toute pratique de corruption".
La note d'information rappelle, par ailleurs, que l'Algérie a adhéré aux sept grandes conventions des Nations-unies sur les droits de l'homme et les huit conventions de l'OIT (Organisation Internationale du Travail) en la matière.
Concernant les risques sécuritaires pour les entreprises, le ministère britannique des Affaires étrangères rassure que "les entreprises étrangères n'ont pas été une cible significative du terrorisme" ajoutant que "les entreprises du secteur du pétrole et du gaz opérant dans le sud sont bien protégées par les forces de sécurité algériennes".
Le Foreign office avertit, néanmoins, qu'"il y a une menace terroriste dans certaines régions de l'Algérie, notamment les zones frontalières du sud et de l'est", tout en précisant "qu'il n'y a pas de menaces spécifiques contre les compagnies étrangères provenant du crime organisé".
Le document souligne, enfin, qu'en matière de protection de la propriété intellectuelle, la loi algérienne s'inspire des instruments internationaux en vigueur.
APS

samedi 6 septembre 2014

Economie: l'Algérie gagne 21 places dans le classement mondial de la compétitivité

Economie: l'Algérie gagne 21 places dans le classement mondial de la compétitivité


L'Algérie a progressé de 21 places dans le classement mondial de la compétitivité publié par le Forum économique mondial (WEF) pour occuper le 79e rang grâce notamment à la "solidité de sa situation macro-économique".
Selon le rapport global sur la compétitivité 2014-2015 de la WEF, l'économie algérienne se hisse au 79e rang, gagnant ainsi 21 places par rapport au classement du 2013-2014 (100e rang) et celui du 2012-2013 (110e rang).
Pour établir son classement global de compétitivité, le Forum se base sur 114 indicateurs regroupés dans 12 catégories dont l'environnement macro-économique dans lequel l'Algérie a occupé la 11e place parmi les 114 pays étudiés. Sur le critère de la taille du marché, l'Algérie est classé 47e mondialement.
Parmi les atouts qui ont permis à l'Algérie de grimper dans le classement, figure aussi les avancés enregistrées dans les secteurs de l'éducation, l'enseignement et la santé, notamment les efforts consentis en matière de prévention contre le sida et le paludisme.
Le rapport du Forum recommande, par ailleurs, une meilleure prise en charge du secteur financier croupissant à la 133e place selon l'indice de la disponibilité des services financiers, la 133e place en matière de solidité du système bancaire et la 72e place concernant la facilité d'octroi de crédits.
Le WEF insiste également sur la nécessité de revoir le cadre institutionnel de l'économie algérienne et d'améliorer l'efficacité des marchés du travail et des biens ainsi que le marché financier pour "mettre la croissance du pays sur une trajectoire plus durable".
L'Algérie occupe le 136e rang en matière d'efficacité du marché des biens, selon le rapport qui déplore à cet égard la faiblesse d'intensité de la concurrence locale (136e rang) et la complexité des procédures de lancement des projets (139e rang).
Concernant les infrastructures de base, l'Algérie est classée 107e à l'échelle mondiale, indique le même rapport notant la mauvaise qualité des routes (107e place) des ports (117e place) et des infrastructures du transport aérien (128e place).
Le rapport souligne également qu'en dépit de la disponibilité des scientifiques et des ingénieurs (61e place), l'innovation demeure l'un des points négatif pour l'Algérie qui occupe la 128e place, selon cet indice.
Le classement du WEF est établi à partir des données économiques collectées auprès des 144 pays étudiés, outre les résultats d'enquêtes menées dans ces pays. En Algérie, l'enquête a été réalisée par le Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (Cread).
Pour la sixième fois consécutive, la Suisse occupe le premier rang du classement, suivie du Singapour, des Etats-Unis et de la Finlande.
A l'échelle arabe, les Emirats Arabes Unis (12e) prennent la tête devant le Qatar (16e) et l'Arabie Saoudite (24e).
APS