Maison de l'Algérie-Pont d'intelligence

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Club "Génération Entrepreneurs" en Algérie

jeudi 26 avril 2012

Energies renouvelables : mise en place d’une stratégie globale par le ministère de l’Energie et des Mines (experte)


Le ministère de l’Energie et des Mines a mis en place une stratégie globale s’articulant autour de grands axes dans le but de répondre à la problématique du développement durable, a-t-on indiqué mercredi à Alger auprès de ce département.
Il s’agit du développement des énergies renouvelables, de la promotion de carburants propres, la réduction des émissions de gaz à effets de serre, la promotion de la maîtrise d’énergie et l’efficacité énergétique, ainsi que le renforcement des capacités de recherche et le renforcement institutionnel et du cadre législatif, a expliqué Mme Zohra Bouhouche, chargée d’études et de synthèses au ministère de l’Energie et des Mines.
S’exprimant à l’ouverture de la Journée d’information avec la société civile sur le sommet de Rio+20, elle a relevé que développement de nouvelles sources énergétiques renouvelables (ENR) et la promotion de l’efficacité énergétique ont pour objectifs de réduire notamment la dépendance des hydrocarbures, contribuer au développement durable, participer à la diversification de l’économie et la création de l’emploi.
A cet effet, Mme Bouhouche a annoncé qu’une soixantaine de centrales solaires photovoltaïques, solaires thermiques, fermes éoliennes et centrales hybrides seront réalisées à l’horizon 2030, ajoutant que d’ici la même échéance (2030), environ 40% de l’électricité destinée à la consommation nationale sera produite à partir de sources d’énergie renouvelables.
Elle a expliqué que la production nationale d’électricité à partir de sources d’énergies renouvelables sera réalisée en trois phases, à savoir le lancement de projets pilotes pour tester les technologies disponibles (2010-2013), puis l’évaluation de la première phase (2013-2015) avant le déploiement du programme à grande échelle (2016-2020).
A ce titre, plus de 37% d’électricité seront produits grâce à l’énergie énergie solaire d’ici 2030. Pour ce qui est de l’énergie solaire thermique (CSP), deux projets pilotes de 150 MW chacun sont prévus pour 2011-2013 et quatre centrales avec stockage d’une puissance de 1200 MW (2016-2020), a-t-elle dit, rappelant qu’une centrale hybride de 150 MW dont 25 MW en solaire a été mise en service à Hassi R’mel en juillet 2011.
S’agissant du Potentiel éolien, jugé modeste pour le moment, il devrait permettre la production de 3% d’électricité d’ici 2030, la première ferme éolienne de 10 MW ayant été lancée à Adrar en 2012.
En parallèle, des unités expérimentales en géothermie, dessalement des eaux saumâtres et climatisation à partir de l’énergie solaire continuent d’être installées, a ajouté la représentante du ministère de l’Energie et des Mines. Mme Bouhouche a également appelé à promouvoir une consommation "plus efficace et optimale" de l’énergie en améliorant notamment l’isolation thermique des bâtiments et en développant le chauffe-eau et la climatisation solaires.
En matière d’efficacité énergétique, les objectifs fixés consistent en l’augmentation de 20% la part de marché du GPL/C dans le parc automobile d’ici 2020 et la mise en circulation de 100 bus au GNC à Alger à titre d’essai d’ici 2013 avant la généralisation de l’opération à d’autres grandes villes du pays.
Afin d’accompagner toutes ces mesures incitatives à l’utilisation des énergies propres et renouvelable, une usine de fabrication des modules photovoltaïques d’une capacité de 120 MW/an devrait entrer en service fin 2013 à Rouïba (Alger).
Par ailleurs, Mme Bouhouche a insisté sur l’implication "forte" et "réelle" de la société civile à travers les associations pour une "meilleure" à l’effet de sensibiliser les citoyens pour une consommation rationnelle et durable de l’énergie.
La Journée d’information avec la société civile sur le sommet de Rio+20 a été organisée par le ministère des Affaires étrangères en collaboration avec plusieurs autres départements ministériels en relation avec l’environnement et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).
APS


lundi 23 avril 2012

Société Générale Algérie : des résultats au vert

En une décennie d’existence, la filiale algérienne du groupe bancaire international Société Générale présente un bilan plus que satisfaisant.


Avec une hausse de 12% des dépôts, lesquels ont atteint 120 milliards de dinars, et une augmentation de 21% du produit net bancaire de 30% du résultat net d’exploitation et un taux de rentabilité sur fonds propres de 20% inscrits en 2011, la banque aborde l’année 2012 sous de meilleurs auspices. Selon les propos du président du directoire, Pierre Boursot, qui présentait hier à Alger le bilan 2011 de SGA, les efforts à venir visent à consolider la solidité financière de la banque, à étoffer son réseau d’agences (au nombre de 84) avec l’ouverture de 15 espaces en 2012, l’élargissement de la certification ISO 9001-2008 à l’ensemble de ses back-offices et le développement de nouveaux produits et services, dans l’objectif final de servir au mieux la clientèle, estimée aujourd’hui à plus de 300 000 particuliers et près de 6000 entreprises.

La solidité financière de SGA permet, selon M. Boursot, de renforcer les capacités de prêt de la banque. Le bilan 2011 enregistre une hausse de 7% des crédits. Des prêts destinés essentiellement aux entreprises et PME. Le président du directoire insiste sur le fait que SGA désire, en tant que banque universelle, prendre part aux efforts de développement de l’économie nationale. Selon lui, la banque se positionne pour le financement des entreprises en y consacrant 89% des crédits alloués.

Le premier responsable de la section «grandes entreprises», Kheireddine Hassan Khodja, précise que SGA a consacré 250 milliards de dinars d’engagements pour les entreprises, dont 11 milliards de dinars d’encours au titre du leasing et 20 milliards de financements à court et moyen termes. Le reste des encours est ventilé entre le commerce extérieur, les facilités de caisse, les crédits de trésorerie, l’escompte de traites, etc. Pour M. Hassan Khodja, les entreprises algériennes recourent souvent aux facilités de caisse pour leur financement, ce qui peut indiquer que les engagements de la banque en faveur de l’investissement sont plus importants.

Pour autant, SGA ne néglige pas les autres segments. Il s’agit particulièrement du bâtiment et de l’immobilier. 9 milliards de dinars d’encours sont d’ailleurs enregistrés au titre des crédits immobiliers. Un segment en croissance depuis quelques années et qui passera à la phase industrielle très prochainement. Le financement du BTPH suscite aussi l’intérêt de la banque qui, selon M. Boursot, ne peut se permettre d’ignorer «un segment porteur dans un pays neuf». Le développement du leasing immobilier en faveur aussi bien des particuliers que de l’immobilier de services est également l’une des options actuellement à l’étude, et ce, à la faveur de la levée des contraintes fiscales sur les droits d’enregistrement.

En outre, le président du directoire, qui estime que l’environnement réglementaire encadrant l’activité bancaire n’est pas plus contraignant que dans d’autres pays,  souhaite néanmoins certains assouplissements. Des changements qu’il souhaite prochains et qui permettraient, selon lui, de pousser plus loin le partenariat avec la sphère publique bancaire mais aussi avec les entreprises publiques.

Roumadi Melissa

 
 

Plus de 50 millions de dollars dans une joint-venture Biopharm-AstraZeneca

Une nouvelle usine de médicaments sera réalisée prochainement en Algérie, en partenariat entre l’Algérien Biopharm et le groupe international AstraZeneca. Le montant d’investissements devrait dépasser les 50 millions de dollars. L’Algérie a enregistré, durant les deux dernières années, 364 millions de dollars d’IDE, dans le domaine de l’industrie pharmaceutique.
 
 
Le groupe anglo-suédois AstraZeneca et la société algérienne privée Biopharme ont signé, lundi à Alger, un protocole d’accord portant lancement d’un projet de partenariat dans le domaine de l’industrie pharmaceutique. Le PDG  de Biopharm, Abdelmadjid Kerrar a indiqué que la signature de cet d’accord, prévoyant un « réel transfert de technologies », a nécessité deux années de négociations pour aboutir à un « réel transfert de technologies ». Le partenariat a été conclu conformément à la règle des 51/49ù, a-t-il précisé à la cérémonie de signature qui a vu la présence du ministre de la Santé, Djamel Ould Abbas, et Mohamed Benmeradi, ministre de l’industrie de la PME et de la promotion des investissements. Le vice-président d’AstraZeneca Algérie, Tarek Rabeh, a indiqué, pour sa part, que la future usine de médicaments sera implantée à Alger. Elle produira, entre autres, des anticancéreux et des médicaments pour le traitement des maladies psychiatriques. La réalisation de cette usine coutera plus de 50 millions de dollars, a-t-il dit, précisant que le montant exact de l’investissement sera arrêté « après l’achèvement » des études de faisabilité.  AstraZeneca s’engagera, en outre, dans la R&D médicale, plus particulièrement dans le domaine des maladies cardiovasculaires.
 
364 millions de dollars d’IDE en deux ans
 
Le ministre de la Santé a déclaré que l’Algérie a enregistré 364 millions de dollars d’IDE dans le domaine de l’industrie pharmaceutique depuis 2010. Selon lui, AstraZeneca exporte vers l’Algérie 63 médicaments alors que Biopharm fabrique localement une quarantaine de produits. Biopharm a réalisé en 2011 le deuxième plus grand chiffre d’affaires dans le créneau du médicament, derrière un laboratoire étranger, a souligné Ould Abbas sans donner plus de précision. Le ministre de l’Industrie a indiqué, quant à lui, que la joint venture AstraZenca/Biopharm a été validée par le CNI (conseil national d’investissement), chargé de l’examen des projets dont le montant d’investissement est supérieur à 500 millions de dinars. Benmeradi  a appelé que le code algérien des investissements prévoit des exonération de TVA et des droits de douanes au profit des investisseurs pendant la période de réalisation de leurs projets et une exonération de l’IBS (impôt sur le bénéfice des sociétés), applicable pendant les 5 premières années du lancement du projet.  Les responsables de Biopharm et d’AstraZenca ont demandé aux deux membres du gouvernement de leur faciliter l’obtention des autorisations des agences de régulations. La facture d’importation de médicament et des équipements médicaux de l’Algérie a atteint les 3 milliards de dollars en 2011.

Farouk Djouadi
Algérie - plan de relance de 5 milliards de DA pour le groupe public Wood manufacture




Le groupe public de bois "Wood manufacture" veut augmenter sa part de marché de 15% à 25% d’ici à 2015 à la faveur d’un plan de relance doté de 5,15 milliards de DA, en dépit d’une forte concurrence et un marché dominé par l’informel, selon un responsable du groupe.

L’Etat a alloué une enveloppe financière de 5,15 milliards de DA pour relancer "la filière bois" dont 4,15 milliards de DA pour la modernisation des équipements qui n’ont pas été renouvelés depuis longtemps, a confié à l’APS M. Cherif Ahnoudj, cadre dirigeant au groupe.

L’accent sera mis également sur la formation du personnel au moment où la main d’oeuvre qualifiée se raréfie suite au départ des ouvriers et cadres du secteur à la retraite, a-t-il ajouté.

Ce plan de développement prévoit aussi la réhabilitation des sites de production et l’acquisition de camions pour transporter la marchandise. Evoquant les entraves qui ralentissent le développement de cette industrie à forte valeur ajoutée, M.Ahnoudj a souligné le retard accusé sur le plan technologique dans la production de l’ameublement, appelant à revoir la conception de ces meubles selon la nouvelle tendance sur le marché.

Afin d’élargir la gamme de production et augmenter le chiffre d’affaires du groupe, estimé à 10,5 milliards de DA/an, ce professionnel préconise, à titre d’exemple, l’importation de panneaux de fibres à densité moyenne (MDF), une matière première moins chère comparée au bois de hêtre, très coûteux, selon lui.

Il suggère en outre l’investissement des filiales du groupe dans la menuiserie générale destinée à la réalisation de logements et des nouvelles constructions, un créneau qui pourrait, relève-t-il, contribuer à acquérir de nouvelles parts "dans un marché dominé par l’informel et la concurrence déloyale".

La quasi-totalité du chiffre d’affaires du groupe est réalisée par la vente de cabines sahariennes aux entreprises pétrolières et aux corps constitués, alors que le groupe ambitionne de cibler le grand public à moyen terme, a-t-il ajouté.

Composé de 22 entreprises, le groupe Wood manufacture qui emploie quelque 5.000 travailleurs, couvre les activités de la première transformation du bois, de menuiserie générale, de mobilier domestique et collectif, de construction en préfabriqué, de cabines sahariennes et de la distribution.
(APS)

L'Algérie sollicitée pour accroître les capacités de prêt du FMI


Le fonds monétaire international (FMI) a  sollicité le soutien de l'Algérie au renforcement de ses capacités de prêt, a  indiqué ce lundi 23 avril à l'agence APS le ministre des  Finances, Karim Djoudi. « La demande a été faite par le FMI à l'Algérie en tant que pays doté d'excédents financiers pour accroître les ressources de l'institution de  Bretton Woods afin de lui permettre d'accorder des prêts aux pays qui en ont  besoin », a déclaré M. Djoudi, en marge de la réunion du FMI et de la Banque mondiale à Washington. 
Après plusieurs appels lancés par la Directrice générale du FMI, Christine  Lagarde, à la communauté internationale pour conforter le "pare‑feu" financier  de cette institution financière, le G20 s'est engagé vendredi à Washington à  accorder au FMI plus de 430 milliards de dollars de ressources  supplémentaires. M. Djoudi a précisé que l'Algérie allait « étudier et évaluer les conditions  dans lesquelles cette demande sera proposée dans les détails ». « Nous avons besoin de savoir si le FMI envisage de réaliser cette opération de renforcement de ses capacités financières à partir de demandes de prêts ou  de dépôts rémunérés, ainsi que le rendement qu'il compte proposer », a‑t‑il ajouté.    
 
« C'est à partir de ces conditions que nous donnerons la réponse. Pour le  moment, nous ne disposons pas encore des éléments relatifs aux conditions de  cette initiative propose par le FMI », a précisé M. Djoudi. « La gestion prudente des réserves de change du pays (182,2 milliards de  dollars en 2011) se fonde sur trois critères que sont la préservation de la  valeur du capital, la couverture contre les risques de change par le maintien notamment d'un portefeuille diversifié, et leurs liquidités, c'est‑à‑dire qu'elles peuvent être retirées à tout moment », a encore expliqué M. Djoudi.   
 
Le ministre a précisé que l'Algérie fera connaître sa position à cette demande avant la prochaine assemblée annuelle du FMI et de la Banque mondiale,  prévue en octobre à Tokyo. Dans son dernier rapport publié samedi, le FMI a estimé que l'Algérie clôturerait l'année 2012 avec des réserves de change officielles de 205,2  milliards de dollars, selon l'APS

Réunion de la 2e commission économique mixte algéro-allemande mardi à Alger


Les travaux de la deuxième session de la commission économique mixte de coopération algéro-allemande débuteront demain mardi à Alger, a indiqué dans un communiqué, le ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’Investissement.
A l’occasion de cette réunion de deux jours, qui sera co-présidée par le ministre de l’Industrie, M. Mohamed Benmeradi et la Secrétaire d’Etat au ministère fédéral allemand de l’Economie et de la Technologie, Mme Ruth Herks, un protocole d’accord sera signé entre les deux pays.
Lors de sa visite en Algérie, Mme Ruth Herks sera accompagnée d’une délégation composée d’officiels et de prés d’une quarantaine d’entrepreneurs allemands opérant dans plusieurs secteurs.
Les huit groupes de travail de cette commission aborderont des thèmes divers notamment les potentialités et les défis d’accès au marché algérien dans les secteur des énergies renouvelables, la technologie médicale, la formation, l’agriculture, les transports et l’agroalimentaire.
La Chambre algéro-allemande de Commerce et d’Industrie (Ahk-Algérie) organisera dans le cadre de cette réunion, des rencontres d’affaires entre les hommes d’affaires algériens et leurs homologues allemands pour leur permettre d’établir des contacts et d’éventuels partenariats économiques.
Le président de la République, M.Abdelaziz Bouteflika avait annoncé la création immédiate de la commission économique mixte algéro-allemande lors de son déplacement à Berlin en décembre 2010.
La première session de la commission s’est tenue en 2011 à Berlin sous la présidence de M. Benmeradi.
APS

Forte participation japonaise attendue au 2ème Forum Asie-Arabe sur l’énergie durable


Une forte participation d’experts japonais est attendue à la 2ème édition du Forum Asie-Arabe sur l’énergie durable prévue du 15 au 17 mai prochain à l’Université des Sciences et de la technologie Mohamed Boudiaf d’Oran (USTO), ont annoncé lundi les organisateurs.
La majorité des participants sont des chercheurs japonais ayant confirmé leur participation à cette manifestation, a précisé à la presse le président du comité d’organisation, M. Amine-Boudghène Stambouli.
La tenue du Forum, a-t-il ajouté, coïncidera avec deux autres rencontres, à savoir le 4ème workshop international sur le programme algéro-japonais Sahara Solar Breeder" (SSB) dédié au développement des technologies solaires et le deuxième symposium académique Algérie-Japon.
L’appel à communication, lancé en vue de ces événements, a suscité l’intérêt de spécialistes d’autres pays asiatiques et arabes et de plusieurs chercheurs algériens, dont des compétences nationales établies à l’étranger, a indiqué M. Stambouli, également professeur à la faculté de génie électrique de l’USTO.
La formation et le transfert de savoir-faire constituent les axes majeurs de la coopération scientifique algéro-japonaise, a-t-il souligné, en évoquant notamment les grandes actions prévues dans le cadre du programme "SSB" portant sur l’acheminement, à l’échéance 2015, de l’énergie solaire du Sud vers la région Nord du pays en vue d’alimenter les stations de dessalement de l’eau de mer.
Ce programme, lancé en janvier 2011, s’intitule "Projet SSB" (Sahara Solar Breeder, ferme solaire expérimentale) en référence à la plateforme technologique prévue dans ce cadre à Saïda.
L’USTO est mise en partenariat avec un consortium de six universités et deux agences japonaises pour la coopération internationale (JICA) et le développement scientifique et technologique (JSTA).
Dans le cadre de ce programme, l’USTO bénéficie de la création d’un Centre de recherches sur les technologies solaires, alors que le Centre de recherche sur l’énergie solaire d’Adrar disposera d’une plate-forme technologique pour la construction de cellules photovoltaïques et l’exploitation de l’énergie produite.
Une enveloppe financière, équivalent 5 millions d’euros, est mobilisée par la partie japonaise dans le cadre de cette coopération qui permettra bientôt à l’USTO d’acquérir d’importants équipements destinés tant à la recherche qu’à la formation.
La formation d’ingénieurs et de jeunes doctorants sera consolidée à la faveur de l’acquisition d’un nouveau système de télé-enseignement (web e-learning service) pour promouvoir les échanges et l’actualisation des connaissances avec les partenaires japonais, outre la proposition de création d’une école doctorale spécialisée dès septembre prochain.
La participation japonaise, en mai prochain à Oran, sera aussi marquée par la présence d’acteurs du secteur énergétique, tels ceux spécialisés dans l’élaboration du silicium à partir du sable et les nouvelles technologies de dessalement.
L’Industrie algérienne sera représentée, quant à elle, par de grandes compagnies, à l’instar des entreprises Sonatrach et Sonelgaz, aux côtés d’organismes spécialisés, dont le Centre de développement des énergies renouvelables (CDER), l’Unité de développement des technologies solaires (UDTS) et l’Unité de développement des équipements solaires (UDES).
Le choix de l’Algérie parmi les pays candidats au projet SSB s’explique, selon M. Stambouli, par la qualité du sable local à forte consistance en silicium, produit clé dans la production de l’énergie solaire basée sur l’exploitation des cellules photovoltaïques.
Le Sahara algérien, de par sa superficie, recèle le plus haut potentiel en énergie comparativement aux autres déserts de la planète, a affirmé un chercheur de l’USTO ayant co-animé cette séance de présentation.
Le forum Asie-Arabe intervient, a-t-on observé, dans un contexte marqué par le lancement du programme national des énergies renouvelables et d’efficacité énergétique au titre duquel il est prévu, à l’horizon 2030, qu’environ 40 % de la production d’électricité sera d’origine renouvelable.
aps

Reda Hamiani, à propos du taux de croissance à deux chiffres : " L'Algérie recèle des capacités réelles"



 
" L'Algérie recèle aujourd'hui des capacités réelles et des  opportunités économiques importantes pour atteindre un taux de croissance économique  à deux chiffres.
L'Etat a réalisé des investissements publics considérables en  termes notamment de projets socioéconomiques qui permettent de passer le flambeau de la croissance à l'entreprise en vue de créer de nouvelles richesses et emplois " a souligné, hier, Reda Hamiani, président du Forum des Chefs d'Entreprise (FCE), au cours de la conférence-débats, organisée au siège de la Safex, à la veille du salon international de l'élevage, de l'agroalimentaire et de l'agroéquipement (SIPSA) qui s'ouvre aujourd'hui au Palais des Expositions d'Alger en présence de plus de 25 pays, selon Amine Bensemane, président du salon et de la Fondation FILAHA.
C'est ainsi que M Hamiani plaide pour un autre modèle de croissance, contenu dans les 50 propositions du FCE adressées récemment au gouvernement. Il n'est pas normal, selon lui, que l'Algérie n'atteigne pas ce chiffre avec toutes ses capacités économiques et financières, si chacun des acteurs, publics, privés et pouvoirs publics, assume ses responsabilités en s'engageant dans ce nouvel ordre de  la croissance.  Mais selon lui, ce modèle de croissance doit être transféré aux chefs d'entreprise pour garantir outre la création des richesses, " un traitement économique à l'emploi ". Dans le secteur agroalimentaire où l'Algérie se fait déjà connaître à l'étranger en termes d'exportations, M Hamiani a insisté sur la construction d'une chaîne alimentaire, de sorte que les produits des uns, soient, dit-il, des matières premières pour les autres, mettant en évidence " l'urgence de garantir la sécurité alimentaire ". Le président du FCE a également insisté sur la nécessité d'améliorer davantage l'environnement des affaires et des entreprises pour leur permettre de produire à moindres coûts. " Au lieu de focaliser les débats sur les exportations qui sont loin d'atteindre le volume financier attendu, il est plus opportun de s'intéresser davantage aux voies et moyens permettant de réduire le volume des importations ; autrement nous devons faire plutôt la promotion de la production nationale. Et nous allons au niveau du FCE lancer bientôt une campagne de vulgarisation et de sensibilisation des Algériens pour consommer Mad In Algeria " a-t-il annoncé la campagne sera intitulée " Consommons national ".  Le FCE organise aussi, dit-il, mercredi prochain à l'hôtel Sofitel d'Alger, une rencontre sur les PME et la production du médicament en Algérie, dans le cadre, du programme national de la production en Algérie, à l'horizon 2014, de 75 % des besoins nationaux, qui est tracé par le ministère de la santé, de la population et de la reforme hospitalière M Bensemane a souligné quant à lui l'importance du SIPSA en termes notamment de la promotion des filières de  lait, des céréales et des viandes ainsi des équipements agricoles. " Cette année, le SIPSA -AGROFOOD met à l'honneur la production, l'agroéquipement et l'agroalimentaire, sachant qu'un autre événement agricole AGROEXPO-FILAHA qui sera organisé en novembre prochain va compléter l'offre destinée aux productions végétales et aux filières agricoles " a-t-il ajouté. La modernisation des exploitations agricoles, la valorisation des produits issus de l'agriculture, l'autosuffisance et l''exportation de ces derniers , constituent, les axes du programme de renouveau de l'économie agricole et rurale où une importance est accordée, selon lui, à la valorisation des produits agricoles dans le secteur agricole. "De l'étable à la table et de la fourche à la fourchette ", tel est le thème générique de cette manifestation économique et commerciale.
Meziane Atmani


Salon national de l’entrepreneur local 04-05-06-07 juin 2012 à l’hôtel HILTON, Alger, Algérie Avec le parrainage du Ministère de la Formation et de l'Enseignement Professionnels





Présentation du  2eme salon national de l’entrepreneur local 
04-05-06-07 juin 2012 à l’hôtel HILTON, Alger, Algérie 
Toutes les grandes innovations industrielles sont nées de crises majeures",
Le contexte actuel en Algérie et dan les pays voisins comme dans les pays émergeants  va pousser nos entrepreneurs à faire preuve de créativité, de compétitivité, à se tourner vers de nouveaux marchés ou vers l'international... C'est à travers cette notion : solutions stratégiques face aux problématiques de l’entreprenariat  que nous allons  proposer et propulser  à l'occasion de notre deuxième édition sur   Salon des Entrepreneurs d’Alger ".
Qui aura comme thème cette fois ci : rôle de la formation spécialisée et l’accompagnement dans le développement local des PM/TPE

Avec notamment :
  • Le Grand Débat  sur les solutions de formation et d’accompagnement 
  • L’espace partenariat université-entrepreneurs
  • Porteurs de projets innovants –preneurs et investisseurs
  • Concours du projet de création de la meilleure PME
Leader dans son initiative le groupe CPMconsulting est présent sur le marché du développement et de la promotion de l’entreprenariat local depuis presque quatre ans( premier salon sur l’entrepreneur local organisé 29-30 juin  2009 a Oran sous le thème : la mise a niveau ; le deuxième et premier a l’échelle nationale organisé du 06 au 09 mars 2011 ., premier forum national sur l’innovation et la compétitivité des PME toujours ans le cadre de l’entreprenariat organisé le 11-12-13 octobre 2011 a Alger .)Le salon national de l’entrepreneur local qui se veut un carrefour  annuel inédit sur : la création, l’innovation, la transmission, le financement et le développement des entreprises … ; est devenue la plus importante manifestation nationale en Algérie  dédiée a l’entreprenariat et la création des PME  avec :
  • Des dizaines de conférences débats et ateliers de travail
  • Echanges et partenariats entre PME, consultants et futurs aspirants d’entreprises 
  • Plus de  50 000 visiteurs professionnels a travers tous nos supports ( lieu de l’événement , visites sur le portail du salon sur notre site web : www.cpmcons.com
  • Un concours annuel pour le meilleur projet de création d’une PME
  • Une édition nationale sur la compétitivité et l’innovation PME dans le cadre du salon de
L’entrepreneur local.
En somme ;  Expertise, conseils, informations, rencontres, partage d'expériences, solutions business... Que vous soyez porteur d'un projet de création ou de reprise, dirigeant d'une jeune entreprise ou d'une PME, le 2eme Salon national de l’entrepreneur local  vous donne l'opportunité et les moyens de faire aboutir vos projets d'entreprise.
Débats, conférences, ateliers, programmes thématiques, espace Networking, rencontres d'affaires... Découvrez les nouveautés de l'édition 2012 autour du  thème majeur : rôle de la formation spécialisée et l’accompagnement dans le développement local des PME-TPE

A qui s’adresse le 2eme salon national de l’entrepreneur local ?

  • Dispositifs de création et développement des PME
  • Futurs aspirants d’entreprises
  • PME /TPE
  • Bureaux et cabinets d’accompagnement pour les PME
  • Banques et assurances
  • Porteurs de projets innovants et inventeurs
  • Chambres de commerce et  d’industrie
  • Chambres d’agricultures, d’artisanat et de tourisme
  • Experts en accompagnement des entreprises, commissaires en comptes, comptables…
  • Chercheurs universitaires, détenteurs de brevets de création
Espaces du SNEL 2012 
a-)   Thématiques  et ateliers :

 Thématiques

  • Conduire un projet de formation spécialisée
  • Management de la formation
  • Comment traduire la stratégie d’entreprise  en plan de formation et impliquer les managers opérationnels dans sa mise en œuvre ? 
  • L’accompagnement des managers de PME : méthodologie et outils de formation
  • Le coaching dans l’accompagnement : application, processus et outils
  • La fiabilité et l’efficacité des systèmes d’information et de gestion dans la PME moderne
  • Le   E-Learning : nouveau model de formation des ressources humaines dans les PME
  • La formation professionnelle et l’entreprenariat  local
  • Intégrer les évolutions  stratégiques et technologiques dans le plan de formation et les traduite en objectifs opérationnels  pour chaque direction

 Ateliers  experts

  • Les  formations  les plus  vues  et  les  plus  utiles pour un manager de PME / TPE
  • Comment créer une synergie efficace entre les organismes d’accompagnement  et de formation  spécialisés et les dispositifs de création et développement des PME/ TPE
  • La formation via le web : avantages et procédures
  • La réactivité de la formation face aux changements dans les PME/ TPE
  • Comment organiser son plan de formation annuel... son budget de formation annuel
  • Les outils et les méthodes de formation les plus novatrices dans les PME/TPE
  • Comment  réussir la concertation avec des acteurs concernés  par le plan de formation ?
  • L’identification des besoins de la formation par rapport à l’évolution des métiers

   b-)  Partenariat et mise en relation d’affaires :
  • Formules et mécanismes de partenariat  entre les bureaux d’accompagnement des PME
Et les dispositifs de création des PME-TPE
  • La formation professionnelle et les relations d’affaires avec les entrepreneurs locaux.
  • La formation des porteurs de projets et de brevets dans les multinationales algériennes
Et internationales.
  • Partenariat centres de recherches-diapositifs de création  des PME : l’urgence de l’heure
Et les attentes de demain.

 c-)  innovation-invention et investissement durable

  • Projets prêts pour la réalisation
  • Inventions nécessitant investissements
  • Nouveautés institutionnelles, organisationnelles, financières et juridiques dans
Le cadre de l’innovation et de l’invention
  • Managers PME chasseurs d’inventions et d’innovations 

   d-) concours du projet de création de la meilleure PME :

  • Présentation des projets de création de PME pour les candidats au même concours
Durant les journées du premier forum national de l’innovation et de la compétitivité des PME,
  • Réouverture du concours de création de la meilleure PME pour l’année 2012
  • Semi-conférence / débat sur le concours, ses partenaires, son comité de jury….
   e-) exposition et mise en relation d’affaires :
  • présentations d'entreprises, tables rondes et conférences, rendez-vous d’affaires
Une surface d’exposition
  • échanges avec des délégations officielles dans le cadre de l’entreprenariat.
  • Développement des partenariats algero-étrangers.
  • Nouveautés chambres de commerces et d’industries algériennes et étrangères
Dans le cadre de l’entreprenariat ; la compétitivité et l’innovation PME
          Direction marketing et communication : te/ fax 021-75-23-86 mob : 0552 164 394
          Site web : www.cpmcons.com  email : visionnaire2010@live.fr –info@cpmcons.com

Inscription et réservation suivre le lien :

http://www.cpmcons.com/Fiche_d'inscription.pdf